AvecResident Evil : Bienvenue Ă Raccoon City (2021), le but des producteurs Ă©tait bien dâeffectuer un reboot complet de la sĂ©rie en respectant davantage la charte du jeu dâorigine et en livrant une sorte de fan service destinĂ© Ă satisfaire tous les déçus de la premiĂšre version dĂ©clinĂ©e en six films. Exit donc le personnage dâAlice, on
Pensezà vous connecter sur votre espace membre ou à vous inscrire gratuitement si vous n'avez pas encore de compte afin de bénéficier de toutes les fonctionnalités. GRAND JEU Gagnez 5 lots de 2 places de cinéma pour "Resident Evil : Bienvenue à Raccoon City" jusqu'au 24 novembre 2021
Residentevil : bienvenue à raccoon city. Avec Robbie Amell, Kaya Scodelario, Hannah John-Kamen. voir tout. Descriptif détaill é; ajouter. Resident evil : bienvenue à raccoon city. 9,99 ⏠3=20⏠/ 5=30⏠/ 10=50⏠/ 20=80⏠Faites le plein de films ! Offre valable pour l'achat de 3, 5, 10, ou 20 DVD de la sélection, jusqu'au 08/11/2022 dans la limite des
ResidentEvil 2 est un monument de la Playstation, Capcom remet le couvert avec un remake de haute volée sur PC, PS4 et Xbox ONE pour attaquer 2019 en beauté ! On découvre ensemble ce nouveau
InfoRedon Resident Evil Bienvenue à Raccoon City - Date de sortie 24 novembre 2021 Genre(s) Redon. Redon Rennes Vitr é Saint-Malo FougÚres Autres villes . S'inscrire Se connecter Mon compte Maville. Mon compte Mon espace PRO; Déconnexion par . Info. Accueil Info Info en continu Info Redon Info Ille-et-Vilaine Info Bretagne En
Vay Tiá»n Nhanh Chá» Cáș§n Cmnd. AprĂšs une premiĂšre saga de sept films conclue en 2017, Resident Evil revient au cinĂ©ma avec un reboot annoncĂ© comme Ă©tant plus respectueux de l'Ćuvre vidĂ©oludique de Capcom. Quel est le rĂ©sultat Ă l'arrivĂ©e ? Pour rĂ©pondre, nous l'avons dĂ©couvert en avant-premiĂšre⊠2 Resident Evil Bienvenue Ă Raccoon City Vous ĂȘtes un fan hardcore de Resident Evil Vous adorez le fan-service Les zombies au cinĂ©ma vous manquent Vous aimez le cinĂ©ma Vous tenez le genre horrifique en respect Les cabrioles de Milla Jovovitch vous faisaient rire Accompagnez la lecture de cet article avec la musique du film Old Town Road En 1998, la ville de Raccoon City dĂ©pĂ©rit aprĂšs le dĂ©part de la sociĂ©tĂ© pharmaceutique Umbrella Corporation. De nombreux habitants semblent rongĂ©s par une mystĂ©rieuse maladie qui aurait Ă voir avec les activitĂ©s de l'entreprise. Un soir, une sirĂšne retentit dans la bourgade et annonce une nuit d'horreur que devront traverser un petit groupe de survivants. Ils n'ont que quelques heures pour mettre Ă jour les terribles secrets d'Umbrella et prendre la fuite⊠Resident Evil nous accompagne au cinĂ©ma depuis 2002 et la premiĂšre adaptation rĂ©alisĂ©e par Paul Anderson. Ont suivi six autres suites, toutes plus mauvaises les unes que les autres, qui ont convaincu les dĂ©tenteurs des droits d'adaptation de la licence de revenir Ă l'essence mĂȘme du jeu donc armĂ© des meilleures intentions que s'est prĂ©sentĂ© Resident Evil Bienvenue Ă Raccoon City, d'abord Ă travers une Ă©trange bande-annonce oĂč les attaques de zombies Ă©taient montĂ©es, sans trop qu'on sache pourquoi, sur le tube rock What's Up des 4 Non Blondes. Pas franchement rassurĂ©s par ces premiĂšres images, nous nous sommes quand mĂȘme installĂ©s dans une salle de cinĂ©ma pour dĂ©couvrir le rĂ©sultat final. Et nos craintes n'ont pas seulement Ă©tĂ© confirmĂ©es mais bien amplifiĂ©es⊠Zombie, fais moi peur Le film dĂ©bute par une sĂ©quence de flashback dans l'orphelinat de Raccoon City, oĂč vivent les petits Chris et Claire Redfield. Cette derniĂšre va faire la rencontre d'un mystĂ©rieux personnage Ă l'apparence monstrueuse et cette sĂ©quence sera l'occasion pour Johannes Roberts, le responsable du bousin, de montrer l'Ă©tendue de son incapacitĂ© Ă faire naitre la terreur chez son photographie bleutĂ©e, qui couvre presque tout le film, est d'une laideur sans nom et le metteur en scĂšne semble ne jamais savoir oĂč placer sa camĂ©ra ni oĂč couper son plan, insistant alors sur de trĂšs longs zooms mal cadrĂ©s, directement pompĂ©s des pires films d'horreur des annĂ©es 70. On s'ennuie donc trĂšs rapidement, et ce, jusqu'Ă la rĂ©vĂ©lation lourdement appuyĂ©e par des effets sonores tonitruants, visant Ă nous faire sursauter sur notre siĂšge. RatĂ©, mais ce n'est rien Ă cĂŽtĂ© de ce qui va suivre⊠Pour faire plaisir aux fans de la saga, Resident Evil Bienvenue Ă Raccoon City s'Ă©vertue Ă adapter le premier et le deuxiĂšme Ă©pisode de la sĂ©rie de jeux vidĂ©o. On retrouve donc d'un cĂŽtĂ© Chris Redfield, Jill Valentine et Albert Wesker, chargĂ©s de se rendre au manoir Spencer pour enquĂȘter sur les agissements d'Umbrella Corporation, tandis que Leon S. Kennedy et Claire Redfield sont, eux, coincĂ©s au commissariat de Raccoon City, entourĂ© de zombies amateurs de chair Ă©vĂ©nements surviennent Ă©videmment sur une seule nuit et les sĂ©quences sont entrecoupĂ©s de panneaux affichant l'heure locale de la bourgade amĂ©ricaine, histoire de nous rappeler Ă intervalles rĂ©guliers que le temps est long, trĂšs long⊠On reconnait que les personnages ressemblent plutĂŽt pas mal Ă leurs Ă©quivalents vidĂ©oludiques, mis Ă part Leon, rookie inexpĂ©rimentĂ© qui devient ici un parfait abruti, Ă cĂŽtĂ© de ses pompes et semblant toujours en retard sur les dialogues, eux, sont risibles. Nos hĂ©ros se contentent en effet de quelques lignes, ayant pour seul but d'expliciter un scĂ©nario pas bien difficile Ă apprĂ©hender, ou de prĂ©senter leur aux spectateurs peu familiers de l'univers créé par Capcom dans des scĂšnes d'exposition embarrassantes de je m'en foutisme ». Aussi, il est tout simplement impossible de s'attacher Ă eux et ils pourraient mourir dans la minute que cela ne ferait ni chaud ni froid. Tchernobyl artistique Resident Evil n'est pas connue pour la qualitĂ© de son scĂ©nario qui verse sans complexe dans la sĂ©rie Z, et nous ne sommes d'ailleurs pas venus pour ça, mais bien pour voir des nuĂ©es de zombies et des monstres baveux. Or, lĂ encore, hĂ©las, Resident Evil Bienvenue Ă Raccoon City se plante dans les grandes d'un budget, pourtant confortable, de 40 millions de dollars, le film se permet de prĂ©senter des infectĂ©s comptant parmi les plus mal foutus qu'il nous aura Ă©tĂ© donnĂ© de voir cette annĂ©e. Mention spĂ©ciale Ă ces pauvres figurants Ă peine maquillĂ©s devant le commissariat, qui font passer les zombies du Parc AstĂ©rix avec tout notre respect pour des comĂ©diens shakespeariens. Resident Evil Bienvenue Ă raccoon city est un machin ennuyeux et cynique rempli jusqu'Ă la gueule de clins d'oeil goguenards aux gamers » Sans trop de surprise donc, les crĂ©atures et effets numĂ©riques font tout aussi peine Ă voir. L'apparition d'un Licker parvient Ă faire illusion quelques instants en plan fixe, mais une fois en mouvement, le rĂ©sultat est aussi catastrophique que trop court. On ne profite jamais du bestiaire, expĂ©diĂ© en quelques secondes et autant de coups de fusil Ă pompe avant de passer mĂ©caniquement Ă la sĂ©quence suivante. Seule une scĂšne, dans le manoir, alors que Chris Redfield doit affronter plusieurs zombies Ă la seule lueur de son briquet et des coups de feu de son arme de poing, a rĂ©ussi Ă rĂ©veiller notre intĂ©rĂȘt. Le rĂ©alisateur s'inspire cette fois directement de la nanardesque sĂ©quence d'introduction, filmĂ©e en live action, du premier Resident Evil et supprimĂ©e avant la sortie du jeu mais toujours trouvable sur YouTube⊠Et c'est au final la seule idĂ©e de mise en scĂšne dĂ©ployĂ©e durant 1 heure 47 de film, on ne va donc pas faire la fine bouche. Pour une poignĂ©e de dollars Ă la dĂ©couverte du premier Resident Evil il y a bientĂŽt 20 ans, les fans de la saga ont levĂ© les yeux aux ciel devant les cabrioles d'une Milla Jovovitch perfusĂ©e Ă la Juvamine. N'empĂȘche, ce dĂ©lire turbo-zinzin avait au moins le mĂ©rite d'ĂȘtre fun, voire idĂ©al pour une soirĂ©e entre amis amateurs de films dĂ©viants mais gĂ©nĂ©reux, autour d'un bol de Evil Bienvenue Ă Raccoon City est l'antithĂšse de la premiĂšre proposition. Ce n'est pas un film, mais un machin ennuyeux et cynique, rempli jusqu'Ă la gueule de clins d'Ćil goguenards aux gamers, censĂ©s masquer le vide artistique du projet le temps que ses producteurs les dĂ©lestent de quelques euros. FidĂšle Ă l'Ćuvre de Capcom, ce reboot ne l'est qu'Ă la marge. Il ne parvient jamais Ă retranscrire l'essentiel, Ă savoir la peur du joueur, isolĂ© dans un environnement hostile et angoissant oĂč la menace peut surgir Ă tout moment. Mais Claire a une veste de la mĂȘme couleur que dans le jeu, c'est important, non ?âŠResident Evil Bienvenue Ă Raccoon City vient donc rejoindre Max Payne, Doom ou encore Hitman dans l'immense cimetiĂšre des adaptations ratĂ©es d'un jeu vidĂ©o, pensĂ©es comme des bidons de lessive plutĂŽt que construites comme des Ćuvres Ă part entiĂšre. Ă Uncharted, dĂ©sormais, de nous proposer le contraire en fĂ©vrier 2022 ! 2 Reboot honteux dans sa fabrication et son Ă©criture, Resident Evil Bienvenue Ă Raccoon City rĂ©ussit l'exploit de liquĂ©fier votre cerveau, dĂ©truire vos tympans et vous rayer le cristallin, le tout en moins de deux heures. Un film d'une nullitĂ© stupĂ©fiante et assumĂ©e qui semble n'avoir d'autre projet que de faire les poches des fans historiques. DĂ©testable⊠Cette Ćuvre est pour vous si Vous ĂȘtes un fan hardcore de Resident Evil Vous adorez le fan-service Les zombies au cinĂ©ma vous manquent Cette Ćuvre n'est pas pour vous si Vous aimez le cinĂ©ma Vous tenez le genre horrifique en respect Les cabrioles de Milla Jovovitch vous faisaient rire Pour vous si Pas pour vous si Vous ĂȘtes un fan hardcore de Resident Evil Vous adorez le fan-service Les zombies au cinĂ©ma vous manquent Vous aimez le cinĂ©ma Vous tenez le genre horrifique en respect Les cabrioles de Milla Jovovitch vous faisaient rire Resident Evil Bienvenue Ă Raccoon City est dans les salles depuis le 24 novembre 2021 Cet article contient des liens d'affiliation, ce qui signifie qu'une commission peut ĂȘtre reversĂ©e Ă Clubic. Les prix mentionnĂ©s sont susceptibles d'Ă©voluer. Lire la charte de confiance derniĂšres critiques Critique The Pentaverate Mike Myers chasse les complots sur Netflix et ne fait pas dans la dentelleL'interprĂšte d'Austin Powers revient sur le devant de la scĂšne avec The Pentaverate, une mini-sĂ©rie en six Ă©pisode abordant le sujet des conspirations et autres thĂ©ories du complot. La greffe avec Netflix a-t-elle pris ? RĂ©ponse dans cette critique ! Critique Doctor Strange in the Multiverse of Madness Sam Raimi projette Marvel dans de nouvelles dimensionsPour ce premier film Marvel de 2022, le studio nous prĂ©sente la nouvelle aventure en solo de Doctor Strange. Le programme, ambitieux, est de jouer avec les possibilitĂ©s infinies du Multivers. Pari rĂ©ussi ? RĂ©ponse dans cette critique ! Critique Moon Knight la nouvelle sĂ©rie Marvel ne manque pas de personnalitĂ©sDisney+ vient de terminer la diffusion de la premiĂšre et unique ? saison de Moon Knight, nouvelle sĂ©rie Marvel portĂ©e par Oscar Isaac. 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sorties Vod, Dvd, BluâRay Les publicitĂ©s sont peu nombreuses sur ce site, mais nĂ©cessaires Ă son financement. Si vous aimez Guide rapide, pensez Ă faire une exception sur votre bloqueur de pub ! Resident Evil Welcome to Raccoon CityFilm rĂ©alisĂ© en 2021, Allemagne-USA, par Johannes RobertsDurĂ©e 1h47Genre Action, Horreur, Science-fictionFilm interdit aux moins de 12 Blu-Ray 4K vente Sortie VOD locationSortie DVD locationSortie Blu Ray location 24 mars 2022 inconnue inconnue VOD venteDVD vente Blu Ray vente 24 mars 2022 24 mars 2022 24 mars 2022 Nombre de votants 43 262 internautes 5,1 /10 vod dvd blu-ray Votre navigateur ne prend pas en charge les vidĂ©os HTML5.
Resident Evil Bienvenue Ă Raccoon City News Bandes-annonces Casting Critiques spectateurs Critiques presse VOD Blu-Ray, DVD Photos Musique Secrets de tournage Box Office RĂ©compenses Films similaires note moyenne 1,8 1995 notes En savoir plus sur les notes spectateurs d'AlloCinĂ© Votre avis sur Resident Evil Bienvenue Ă Raccoon City ? 336 critiques spectateurs 5 30 critiques 4 44 critiques 3 44 critiques 2 59 critiques 1 79 critiques 0 80 critiques Trier par Critiques les plus utiles Critiques les plus rĂ©centes Par les membres ayant fait le plus de critiques Par les membres ayant le plus d'abonnĂ©s AprĂšs six films "Resident Evil" massac...menĂ©s en grande partie et en roue libre par le couple Paul Anderson/Milla Jovovich devant et derriĂšre la camĂ©ra bon, il y en a quand mĂȘme certains plus regardables que d'autres, reconnaissons-le, principalement dans la premiĂšre trilogie, l'espoir de voir un jour une adaptation respectueuse de la saga vidĂ©oludique pleine de virus et de laboratoires improbables tenait de la chimĂšre la plus totale... mĂȘme si, on le savait en notre for intĂ©rieur, le succĂšs inexplicable des prĂ©cĂ©dents longs-mĂ©trages allait forcĂ©ment appeler un reboot un jour ou l'autre. Pour le meilleur ou pour le pire. C'est dĂ©sormais chose faite avec ce "Resident Evil Bienvenue Ă Raccoon City" qui, Ă©videmment, gomme tous les errements cinĂ©matographiques prĂ©cĂ©dents pour ce concentrer sur une adaptation des deux premiers jeux vidĂ©os se voulant bien plus fidĂšle Ă leur esprit. Connu pour "47 Meters Down" ou "The Strangers Prey at Night", Johannes Roberts fait en effet le choix, que l'on sent d'ailleurs bien intentionnĂ©, de revenir aux sources de la licence avec sans doute l'espĂ©rance de livrer enfin aux fans le film qu'ils attendaient mais le rĂ©sultat final a hĂ©las de grandes chances de susciter une nouvelle fois plus le rejet que l' sĂ»r, en soi, "Resident Evil Bienvenue Ă Raccoon City" se rapproche bien plus des jeux vidĂ©os que la prĂ©cĂ©dente saga, il passe d'ailleurs son temps Ă le souligner des sĂ©quences donnent l'impression de n'ĂȘtre que des variations de cinĂ©matiques de ses modĂšles jouables, les personnages connus sont bien prĂ©sents et martĂšlent sans arrĂȘt leurs noms tout haut afin de nous le rappeler, la camĂ©ra aime s'attarder longuement sur certains dĂ©cors incontournables comme pour nous mettre des coups de coude appuyĂ©s du genre "T'as vu ? C'est pareil !", une foule d'easter eggs est Ă relever et le film met en scĂšne l'exploration du manoir Spencer mĂȘlĂ©e Ă l'apocalypse que subit Raccoon City par l'intermĂ©diaire du duo frĂšre-soeur Redfield. MĂȘme de petites innovations comme cette idĂ©e d'une ville laissĂ©e au bord de la ruine par Umbrella et donc dĂ©peuplĂ©e de la plupart de ses habitants sont loin d'ĂȘtre inintĂ©ressantes pour crĂ©er une atmosphĂšre un chouĂŻa diffĂ©rente. Cependant, rien n'y fait, "Resident Evil Bienvenue Ă Raccoon City" n'est clairement pas un bon film. MalgrĂ© tous les efforts dĂ©ployĂ©s pour en adapter l'esprit, le film se perd complĂštement en en faisant Ă la fois trop dans la rĂ©fĂ©rence continuelle avec dĂ©jĂ des clins d'oeil supplĂ©mentaires Ă l'avenir... enfin, au passĂ©... enfin, vous comprendrez l'allusion, ne vous inquiĂ©tez pas ! et dans l'entremĂȘlement finalement trĂšs vain et calamiteux des intrigues des deux premiers jeux. Non seulement le multiples points de vue de personnages et les nouveaux ponts scĂ©naristiques qui s'y crĂ©ent n'apportent rien ou, pire, donnent le sentiment que le film et tous ses protagonistes font sans cesse du surplace alors que le tout dure tout de mĂȘme 1h47 le vilain ultime paraĂźt carrĂ©ment arriver comme un cheveu sur la soupe pour signifier le dĂ©but du dernier acte, mais ils ne lui laissent jamais le temps d'installer une ambiance unique comme le long-mĂ©trage passe non-stop d'un jeu Ă l'autre, d'un point de vue Ă un autre, du manoir Ă la ville, etc, les quelques moments oĂč l'on sent poindre un climat d'effroi, joliment amplifiĂ© par les chĆurs lugubres de la bande-son de Mark Korven, sont invariablement interrompus par un dĂ©placement vers un lieu diffĂ©rent au cours de cette fameuse nuit dont le compte Ă rebours anecdotique ne fait que renforcer l'inanitĂ© de ce qui dĂ©roule dans l' relever le niveau, mieux ne vaut pas compter pas non plus sur la rĂ©alisation extrĂȘmement brouillonne de Johannes Roberts bon sang, la platitude terrible des scĂšnes d'action, le film de 2002 avait au moins pour lui des sĂ©quences plus mĂ©morables Ă ce niveau !, une qualitĂ© d'interprĂ©tation assez oubliable pour incarner des personnages emblĂ©matiques eux-mĂȘmes pauvrement dĂ©finis seule Kaya Scodelario s'en sort Ă peu prĂšs la tĂȘte haute en Claire Redfield, des dialogues atteignant en permanence des sommets d'indigence ou des tentatives d'humour, parfois mĂ©ta, le plus souvent dĂ©sespĂ©rantes le traitement de LĂ©on part encore une fois d'une bonne intention ironique mais le boulet sciemment voulu en devient un vrai pour le film, aussi rĂ©pĂ©titif qu'insupportable sur la durĂ©e. Est-ce lĂ Ă dire que "Resident Evil Bienvenue Ă Raccoon City" est une catastrophe complĂšte en guise de conclusion ? Peut-ĂȘtre pas car, si le film Ă©tait finalement sorti vers l'annĂ©e oĂč il se dĂ©roule 1998, Ă la place du premier opus rĂ©alisĂ© par Paul Anderson, il aurait pu probablement satisfaire une partie de nos attentes un peu moins exigeantes de l'Ă©poque et gagner un peu d'indulgence de la part du public qui y aurait au moins retrouvĂ© certains aspects fidĂšles au jeu mais, aujourd'hui, en 2021, une adaptation avec une telle absence de vision et d'audace ne peut que renforcer la plus vive de nos certitudes la licence "Resident Evil" doit Ă l'avenir rester le plus Ă©loignĂ©e possible du grand Ă©cran et des adaptations live. En espĂ©rant que ça s'arrĂȘte lĂ ...Oups, on nous murmure qu'une sĂ©rie Netflix "Resident Evil" doit arriver prochainement. Bon, en mĂȘme temps, ils ne peuvent pas faire pire, n'est-ce pas ? N'EST- CE PAS ??? Pitoyable .. autant fan du 1er jeu video .. un mythe .. mais lĂ rien ne fonctionne , c'est faux, c'est pas bon bref un ennui voire pire . A fuir 'avais beaucoup aimĂ© les films de Paul Anderson, et m'attendait Ă un film mĂ©diocre, avec ce nouveau Resident Evil qui est un reboot, mĂ©langeant l'histoire des deux premiers jeux. Au visionnage, Le rĂ©sultat, est plutĂŽt rĂ©ussi, on commence dans Raccoon City qui n'est plus une plus grand mĂ©tropole comme dans Resident Evil Apocalypse, mais une petite bourgade qui meurt Ă petit feu,des mĂ©faits de Umbrella. Cela offre Ă la fois une façon d'installer les zombies et autres crĂ©atures, de maniĂšre crĂ©dible et ingĂ©nieuse, et donne une ambiance de ville Ă l'abandon. Cette atmosphĂšre de ville mourante est ce qu'il y a de plus rĂ©ussi. Par contre ce qui apparait moins rĂ©ussi, c'est le fan service, reprendre les personnages des jeux vidĂ©os, mais ce qui marchait avec une manette, l'est moins sur un Ă©cran de cinĂ©ma. Hormis Claire Redfield, aucun des personnages apparait mĂ©morable. Mais passĂ© une premiĂšre partie qui a bien installĂ© les bases, le film dĂ©marre rĂ©ellement et les zombies apparaissent vraiment comme une menace vraiment stressante, loin de la multitude, ses zombies attaquent par surprise, et c'est l'horreur qui prĂ©vaut que l'action dĂ©cĂ©rĂ©brĂ©. Stressant et bien mis en valeur, ses zombies ne font pas cadeaux, et nous fait retenir notre souffle quand Ă la prochaine attaque. De ce cotĂ© lĂ , le film est vraiment rĂ©ussit et tiens ses promesses. Pareil pour les crĂ©atures, certes peu exploitĂ© et un peu trop vite expĂ©diĂ©, ils n'en reste pas moins mĂ©morable. Bienvenue Ă Raccoon city est le film que les fans voulaient voir, et de ce cotĂ© lĂ , le pari est rĂ©ussi, certains trouveront que des personnages ne ressemble pas Ă leurs Ă©quivalents dans les jeux mais cela reste du pinaillage, par contre faire de LĂ©on Kennedy, un benĂȘt nâĂ©tait pas une bonne idĂ©e mais on pourra se rattrapĂ© sur Chris Redfield et surtout Claire Redfield vraiment attachante. Le rĂ©alisateur a fait du bon boulot, en terme visuel, le film est magnifique, au niveau des scĂšnes, il arrive Ă nous prendre Ă contre pied nos attentes et Ă nous suspendre et chose intĂ©ressante, il a rĂ©ussit Ă adapter la structure du jeu Resident Evil au film, avec ses Ă©nigmes, ses sous sols et ses laboratoires . Je m'attendais a le dĂ©tester et au final j'ai beaucoup aimĂ© ce Resident Evil. Franchement, Ă©tant une fan de la licence Resident Evil depuis longtemps, je suis super déçu de ce film. J'ai simplement cru que c'Ă©tait un sketch. -POST-GENERIQUE-A des annĂ©es lumiĂšres de lâoriginalâŠ. A des annĂ©es lumiĂšres DERRIERE!SI! Bien que critiques presses et spectateurs, Ă lâinstant oĂč jâĂ©cris ces lignes soient lĂ©gĂšrement supĂ©rieur pour ce titre que pour ceux de 2002 et de 2004, quel carnage, quelle ennuieâŠCĂŽtĂ© scĂ©naristique, on se retrouve encore une fois avec des prises de libertĂ© par rapport au support original, bien que largement plus proche des jeux que la saga originale, et lĂ est ce qui peut devenir un problĂšme LĂ oĂč la premiĂšre proposition prenait un virage Ă 180° et pouvait donc surprendre car totalement diffĂ©rent du domaine du connue, lĂ on a affaire Ă un film retracent les deux premiers jeux, donc si on connait les jeux les seules surprises, sont les mauvaises dans les changements Ă la baisse, Ă la coupe, etcâŠ1998 On suit donc, en parallĂšle, deux arcs lâĂ©quipe Alpha Albert Wesker / Chris Redfield / Jill Valentine / Richard Aiken?! / anonyme 1 Enrico Marini ? / Brad Vickers cĂŽtĂ© Manoir Spencer sans boss , et lâĂ©quipe Chef Ironsâ? / Claire Redfield / Leon S. Kennedy dans un rapide passage par le commissariat sans le tyran puis lâorphelinat, pour finir dans les labos dâ ethnique cadrĂ©e sur les personnages principaux, et lĂ arrive une partie des dĂ©gĂąts Kaya Scodelario en Claire, franchement, elle tientâ le film Ă elle seule rousse aurait Ă©tĂ© bonus, une Jill Valentine tipĂ©e avec les cheveux frisĂ©s on rĂ©ussit Ă voir Jill en la regardant, Chris, correct, Wesker impossible de voir Wesker en le regardant mĂȘme en sachant que câest lui et, le pompon un Leon matte de peau, visage carrĂ©, rasĂ© Ă la Dartagnan, cheveux noirs charbons coiffĂ©s standard, au dĂ©part jâai cru que câĂ©tait Carlos lĂ jâarrive Ă un point je vous recommande fortement de faire le point sur le casting avant de dĂ©marrer le film, sachant quâon voit toutes ces tĂȘtes anonymes tout de suite, dont certaines se retrouvant avec un nom sur le front que assez tard. CĂŽtĂ© Ă©quilibre entre les sexes Jill est cheatĂ© correcte mais cĂŽtĂ© Claire câest ridicule le deus ex machina du film, avec Ă cĂŽtĂ© des mĂąles fragiles, dont un LĂ©on dĂ©crit comme un ratĂ©, idiot de la bande, SURincompĂ©tant, avec la capacitĂ© de survie dâun gamin manchot aveugle trisomique de 5 ans quâil faut se coltiner tout le long pour ĂȘtre gardĂ© en vieâŠSynopsis rĂ©visĂ© mais suivant son file, un effort considĂ©rable pour recopier conforme les costumes, dĂ©cors et autres objets Manoir et Centre de Police Ă lâidentique des jeux, donnant seulement envie de relancer les frissons, on ne peut mĂȘme pas parler de film dâhorreur, ni mĂȘme vraiment dâun film de zombies, ce point Ă©tant trĂšs diffĂ©rent des jeux une contagion dans lâeau, sur plusieurs annĂ©es, les habitants de Racoon devenant malades lentement mais surement, etc⊠avec zones dâombres, la musique est bonne, on retrouve nos Ă©ternels Dobermanns, nos Ă©ternels corbeaux, nos Ă©ternels Licker ÎČ, mais aucun vrai moment mĂ©morable, sinon les Ă©lĂ©ments attendus mais manquants de dĂ©ceptions un rĂ©sumĂ© mal coupĂ© foirĂ© de 1h47 des deux premiers jeux sous forme de cinĂ©matique sautant les bons moments, calme plat dans la salle, zĂ©ro horreur psychologique, le film faisant plus dans les jump-scare repĂ©rĂ©s et de rares screamers repĂ©rĂ©s Ă©galement, violence visuelle banale, lĂ oĂč Mila Jovovich et Michelle Rodriguez proposaient quelque chose sortant des clous, dâoriginal, et Ă suite au-delĂ de la dĂ©cente aux enfers avec les volets suivants, avec de vrais bons moments, de vrais inattendus, du vrai suspens, de la vraie tentions, lĂ tout est dĂ©jĂ connu par cĆur. Film fainĂ©ant les moments farts des jeux giclĂ©s, convenu, se contentant de cocher son cahier des charges, une suite verra-t-elle le jour ou non, je ne sais pas, mais lĂ franchement, en termes de coupures des Ă©lĂ©ments les plus intĂ©ressants de ces Ă©pisodes de lâunivers RE, combinĂ© Ă un Leon ridicule Ă point, pour moi câest oser des choix pareils pour un film sortant si tĂŽt aprĂšs la sortie de tant dâexcellents jeux de la franchise, aux personnages dessinĂ©s Ă partir de vrais humains mannequins? Avec un public soupçonnĂ© ayant donc TRES en mĂ©moire les remake des premiers RE?! mon dieu quel film mauvais , ni queue ni tĂȘte , les acteurs sont mauvais , c' est mal tournĂ©, c' est mal jouĂ©, le seul petit point positif cela ressemble de loin au 1er jeu de resident evil . Cette fois ci, j'y croyais pour de bon en m'asseyant dans la salle , ils allaient faire un vrai reboot de RE avec le synopsis des 2 premiers jeux et en finir avec les mauvaises adaptations de Paul Anderson pour un jeu qui avait bercĂ© et un peu effrayĂ©.... ma jeunesse !Encore ratĂ©!!! J'en peux plus !! On avait pourtant tout de Rancoon City aux mains d' Umbrella Co en passant par le commissariat RPD , le Manoir Spenceravec toutes les portes et une image qui collait bien aux 2 premiers jeux le camion de fuel renversĂ©....Mais non , tout est ratĂ©! MĂȘme les scĂšnes d'action. DĂ©solĂ© , on ne dĂ©gage pas un "licker" en lui tordant les mĂąchoires !!!On bouge sans arrĂȘt de la ville au Manoir sans laisser l'ambiance se rĂ©pandre, rien ne s'installe dans l'atmosphĂšre et puis alors les dialogues , quelle banalitĂ© et quelle niaiserie !! Qu'est ce que vous m'avez fait de LĂ©on?? Non de Zeus! LĂ©on c'est un beau tĂ©nĂ©breux qui parle peu ...Surtout pas un EMO pipelette Ă cheveux longs!!! Et Wesker?? il est pas comme ça le perso de Wesker , bon sang le rĂ©alisateur il a vu les jeux??? C'est un traitre cynique et calculateur pas un pauvre type sympa!! Restez aprĂ©s le post gĂ©nĂ©rique pour voir Ada Et le Tyran de fin ?? Ă pleurer ... Bien sur il y a plein d'easter eggs ... mais comme ça en vrac ,jetĂ©s en pĂąture aux fans !!Vous savez la seule chose qui me fait peur avec ce film?? C'est qu'un jour il y ai un rĂ©alisateur qui s'attaque a me massacrer "Code Veronica" qui pour moi est le chef d'Ćuvre de la saga !!!!!!!!!!!!!!!! La rĂ©alisation est peut-ĂȘtre un peu plus soignĂ©e que les prĂ©cĂ©dents volets bien que sans vĂ©ritable personnalitĂ©, mais on se fait bien chier quand mĂȘme. Aucune surprise, aucune tension, sans parler de la caractĂ©risation de certains personnages... Un film mou qui suit gentiment son cahier des charges sans jamais prendre de risques. Bref, il est temps de laisser cette licence en paix, vraiment. Des effets speciaux ratĂ©s avec une mise en scĂšne de sĂ©rie B doublĂ©e de personnages ininteressants. Ce remake n'apporte rien Ă la franchise et ressemble au film de la saga originale. Inutile et abyssal. UNE MERDE INTERGALACTIQUE ! C'est une honte, pas de mister x, pas de passage dans les Ă©gouts, pas de passage dans le commissariat, pas d'histoire avec Sherry qui est infectĂ©, aucun sens de voir Chris, Jill, Leon et Claire ensemble. D'ailleurs en parlant de personnage, quel acting de merde !!! Ils ont massacrĂ© Leon, le type qui joue Wesker est mauvais Ă en plus pouvoir !! c'est une honte qu'il soit au cinĂ©ma, c'est du mĂȘme niveau que les films d'horreur de merde sur Amazon prime Quand on ne veut ni rire, ni pleurer, ni rĂ©flĂ©chir, ce film qui ne fait pas peur non plus, et qui est un festival de putain, merde, bordel, parfois putain de merde et mĂȘme la vache est tout ce qu'il faut pour se changer les idĂ©es âaller le voir en VO pour plus d'exotisme, ou bien pour se concentrer sur ses idĂ©es âcâest paradoxal. Ce film qui n'est dĂ©finitivement pas pour les moins de 16 ans, est sans doute un reboot de "Resident Evil". Câest bien relou en tout cas. Quant Ă la fidĂ©litĂ© au jeu vidĂ©o, on la cherche une fois sorti. On a eu plaisir dâoĂč la note Ă revoir Neal McDonough, l'antagoniste dâArrow saison 4, qui fait encore le vilain ; et Avan Jogia, le Toutankhamon ado dâune sĂ©rie tĂ©lĂ© de 2015, qui fait le joli un peu niais mais pas tant. On y a cru... Et on nâaurait pas dĂ». Lâattente Ă©tait grande pour tous les fans du jeu vidĂ©o, déçus par prĂšs de vingt ans dâune saga Resident Evil » qui avait commencĂ© du mauvais pied en se dĂ©marquant trop du jeu dĂšs le premier Ă©pisode pour enchaĂźner de plus en plus dans le nâimporte quoi. En effet, en sâinspirant vaguement de quelques dĂ©tails du concept de base mais en se vautrant dans lâaction dĂ©cĂ©rĂ©brĂ©e Ă base de combats avec des zombies dans un style Matrix », la proposition originale au cinĂ©ma nâavait pas satisfait grand monde. AprĂšs, en Ă©tant tolĂ©rants et de bonne humeur, il faut avouer que certains des opus de la saga avec Milla Jovovich passaient trĂšs bien le temps si on les prenait comme des plaisirs coupables. Pas le temps de sâennuyer, des scĂšnes dâactions dĂ©biles et bourrins mais rigolotes et du dĂ©paysement amusant parfait pour un samedi soir. En revanche pour la fidĂ©litĂ© au jeu et le cĂŽtĂ© horrifique on repassera. Lâannonce dâun reboot conforme Ă lâesprit du matĂ©riau original, aprĂšs six films et vingt ans de cascades abracadabrantesques, en a fait trĂ©pigner beaucoup dâimpatience. Mais si cette nouvelle adaptation est certes trĂšs fidĂšle au jeu vidĂ©o, elle est paradoxalement encore pire que les autres! Comme si le jeu Resident Evil » Ă©tait inadaptable, que ce soit librement ou fidĂšlement. Ou alors peut-ĂȘtre quâun juste milieu aurait Ă©tĂ© la solution, mais certainement pas cette sĂ©rie B proche du Z qui semble avoir Ă©tĂ© conçue et filmĂ©e Ă lâĂ©poque oĂč elle se dĂ©roule, soit il y a plus de vingt-cinq ans. Quasiment rien ne fonctionne dans ce retour Ă Raccoon City. On sort de la projection Ă©cĆurĂ©, esseulĂ© et en ayant lâimpression dâavoir vu une purge. Si on peut retenir quelques petites satisfactions hormis les nombreuses rĂ©fĂ©rences au jeu, elles se situent au niveau de lâatmosphĂšre, des dĂ©cors et du design des crĂ©atures. Il y a en effet une vĂ©ritable ambiance, poisseuse et inquiĂ©tante attention on est loin cependant de la rĂ©ussite de Silent Hill » Ă ce sujet et on ne peut nier que le design des zombies fait davantage peur et change un peu, tout comme les crĂ©atures plutĂŽt rĂ©ussies. Sauf le boss final qui est dâun ridicule sans nom!Sinon la dĂ©bandade, que dis-je, le naufrage de ce Resident Evil, retour Ă Raccon City » est presque total. Câest bien simple on dirait que ce film ne dĂ©marre jamais. Lâexposition semble durer la moitiĂ© du film... Pour rien. Câest bien de planter le dĂ©cor et de faire plaisir aux fans mais Ă un moment il est peut-ĂȘtre temps de dĂ©marrer les hostilitĂ©s. Le rĂ©alisateur a fait le choix contraire de Paul Anderson sur la prĂ©cĂ©dente saga choisir lâhorreur plutĂŽt que lâaction. Si deux ou trois sĂ©quences sont bien senties, glauques et gores, on ne sursaute jamais comme dans le jeu et on nâa pas vraiment peur. Et le manque dâaction rend ce film mou et monotone surtout que le montage alterne paresseusement les allers et venues entre les diffĂ©rents groupes donnant lâimpression de plusieurs films diffĂ©rents. Dâune platitude sans nom! Et que dire des personnages? Ils sont bien tous lĂ , mais ils nâont rien Ă jouer. Les acteurs sont soit mauvais, soit ils dĂ©bitent des dialogues vides de sens, fonctionnels, destinĂ©s Ă tuer le temps. Le personnage de LĂ©on est une catastrophe et une insulte aux fans dans la maniĂšre dont il est reprĂ©sentĂ©. Ajoutons Ă cela des invraisemblances en pagaille et une absence dâexplication sur les agissements dâUmbrella qui auraient peut-ĂȘtre un peu densifiĂ© le script. Mais Johannes Roberts semble trop occupĂ© Ă faire du recopiage des sĂ©quences cultes du jeu pour sâoccuper dâautre chose. Un film ridicule, hors du temps, qui fera partie des navets de lâannĂ©e qui mĂȘme au second degrĂ© ne sont pas drĂŽles. ArrĂȘtez le massacre avec cette franchise!Plus de critiques cinĂ©ma sur ma page Facebook CinĂ© Ma Passion. Honteux... l'atmosphĂšre et l'environnement, comme les dialogues...tout... Rien ne va...leon, wesker, claire, lisa trevor đ.... m'Ă©tonne pas que Barry s'est tirĂ© quand il a vu le truc arriver Ă l'avance En plus dâĂȘtre un mauvais film avec de grosses incohĂ©rences, un jeu dâacteur que jâai trouvĂ© trĂšs discutable et des scĂšnes dâaction peu convaincantes, câest Ă©galement une trĂšs mauvaise commencer le personnage de Wesker est complĂštement Ă lâantipode de se quâil est dans le jeux, Barry et Rebecca ne sont pas prĂ©sents, Richard nâest clairement pas Ă sa place, LĂ©on est devenu le clown de service, et surtout le personnage de Lisa Trevor. Pourquoi ? Lisa avait un bon dĂ©veloppement via ces lettres et une fin mĂ©morable. Câest pour moi un gros mĂȘme pour lâambiance gĂ©nĂ©rale. Ici des screamers et des tires Ă tout va. La peur du premier jeu venait du calme pesant du grand manoir. Les zombies ne surgissaient pas Ă 40 en hurlant ! Justement il y avait vraiment matiĂšre en termes dâambiance et de suspense avec ce manoir. Jâaurais tellement aimĂ© quâil soit recréé fidĂšlement. MĂȘme les cinĂ©matiques du jeu, donc simples et plaisantes Ă retranscrire sur le grand Ă©cran, nây sont pas je pense notamment Ă la scĂšne dâattaque des chiens, avant dâentrer dans le manoir.Il nây avait pas non plus assez de crĂ©atures dans les jeux pour ĂȘtre obligĂ© de nous mettre un William Birkin ignoble en 3D ? Un licker tuĂ© en deux secondes, pas dâaraignĂ©e, pas de pas de Tyrant, pas de requins, pas de YawnâŠLes rĂ©actions des personnages sont ridicules, les rĂ©fĂ©rences sont lourdes et prĂ©visible. Je nâai pas compris la volontĂ© de vouloir mĂ©langer les deux premiers jeux, se qui allait forcĂ©ment emmener Ă ce type de vraiment une bonne adaptation des jeux et jâai Ă©tĂ© horriblement déçu. Encore si lâambiance des jeux Ă©tait respectĂ©e, mais câest clairement pas le cas. Il y a pourtant tellement de potentiel cinĂ©matographique dans le mystĂšre et le lore de resident evil. Un Ă©chec⊠pour les fans et les spectateurs en gĂ©nĂ©ral. Que dire... AprĂšs la bande annonce tout le monde s'en douter, mais la partie en moi fan de la sĂ©rie de jeux vidĂ©o voulait se faire son idĂ©e. Mon dieu... Rien ne va dans ce film les personnages, l'acting, l'histoire, les costumes, le bestiaire, les cgi quelle horreur Le sound design. Un fan film avec un peu de thunes rien de plus. Le film en vient a te faire regretter Paul WS anderson et ça c'est fort. Les meilleurs films de tous les temps Meilleurs films Meilleurs films selon la presse
News culture Et le meilleur film Resident Evil est ? Indice, ce n'est pas Welcome to Raccoon City PubliĂ© le 28/11/2021 Ă 1250 Partager Certaines franchises sont si prolifiques au cinĂ©ma quâelles se permettent un reboot Ă peine quelques annĂ©es aprĂšs la fin de la saga cinĂ©matographique prĂ©cĂ©dente. Resident Evil est ici un cas dâĂ©cole. Paul Anderson avait tout juste finalisĂ© son Ćuvre que Johannes Roberts reprenait le flambeau avec Resident Evil Welcome to Raccoon City. Il est temps de trancher. Quel est le meilleur film Resident Evil jamais rĂ©alisĂ© ? SommaireResident EvilResident Evil ApocalypseResident Evil ExtinctionResident Evil AfterlifeResident Evil RetributionResident Evil Chapitre finalResident Evil Welcome to Raccoon CityEt le meilleur film Resident Evil est ?Quid des autres adaptations ?Le grand bal des adaptations cinĂ©matographiques de la franchise Resident Evil a Ă©tĂ© lancĂ© en 2002 par le rĂ©alisateur britannique Paul Anderson avec Resident Evil. Loin de chercher la fidĂ©litĂ© aux jeux de Capcom, notre homme a prĂ©fĂ©rĂ© proposer une histoire inĂ©dite. Cela veut dire nouveaux dĂ©cors, personnages inconnus au bataillon ce qui va changer par la suite et, bien Ă©videmment, monstres diffĂ©rents. Si on retrouve l'antagoniste principal de cet univers, la firme Umbrella Corporation, et les fameux zombies, le reste des Ă©lĂ©ments propres Ă Resident Evil disparaissent rapidement. Ils laissent place Ă bon nombre d'Ă©lĂ©ments Ă©trangers, Ă commencer par l'hĂ©roĂŻne, Alice. InterprĂ©tĂ©e par Milla Jovovich, elle est la tĂȘte d'affiche de toutes les suites de la saga imaginĂ©e par P. Anderson. Dans chacun des films, elle n'a qu'un seul et unique objectif faire tomber Umbrella. Voir Resident Evil sur Prime VideoPresseMetacritic33%RottenTomatoes36% Bande-annonce de Resident Evil Resident Evil ApocalypseContrairement Ă son aĂźnĂ©, cette suite a pris pour inspiration les jeux Resident Evil, et plus prĂ©cisĂ©ment le troisiĂšme opus, tout en faisant des rĂ©fĂ©rences au deuxiĂšme et Ă Code Veronica. Par consĂ©quent, Paul Anderson a introduit l'un des personnages les plus populaires de la saga Jill Valentine, que l'on peut retrouver dans plusieurs titres de la franchise, Ă commencer par le tout premier. Le Nemesis, antagoniste principal de Resident Evil 3, est Ă©galement de la partie. Si l'idĂ©e de faire de Resident Evil Apocalypse un hommage Ă la licence de Capcom Ă©tait bien trouvĂ©e et aurait pu ĂȘtre saluĂ©e par la critique et les fans, le rĂ©sultat n'Ă©tat pas Ă la hauteur de leurs attentes respectives. Voir Resident Evil Apocalypse sur Prime VideoPresseMetacritic35%RottenTomatoes19% Bande-annonce de Resident Evil Apocalypse Resident Evil ExtinctionAvec Resident Evil Extinction, Paul W. S. Anderson rebat les cartes, et change drastiquement d'angle d'attaque. En effet, le rĂ©alisateur a cherchĂ© Ă se dĂ©tacher de la reprĂ©sentation "classique" de l'univers de Resident Evil pour en crĂ©er une vision personnelle. Par consĂ©quent, nous quittons les zones urbaines direction le dĂ©sert aride dans un film fortement inspirĂ©e par la saga Mad Max. Le cĂŽtĂ© action n'a jamais Ă©tĂ© aussi prononcĂ©, et les suites poursuivront dans cette voie. Cela Ă©tant dit, ce troisiĂšme long-mĂ©trage de la saga a mis en lumiĂšre un personnage trĂšs attendu par les fans Claire Redfield. Reste pour notre hĂ©roĂŻne apparue pour la premiĂšre fois dans le deuxiĂšme jeu de la franchise Ă se familiariser avec ce changement radical de Resident Evil Extinction sur Prime VideoPresseMetacritic41%RottenTomatoes25% Resident Evil AfterlifeResident Evil Afterlife quitte l'ariditĂ© du dĂ©sert pour poser ses valises Ă Tokyo, en Alaska et finalement Ă Los Angeles. Notre protagoniste Alice cherche encore et toujours Ă dĂ©truire Umbrella Corporation. Pour ce faire, elle va faire Ă©quipe avec un nouveau personnage emblĂ©matique de la saga. Cet atout, c'est Chris Redfield, un protagoniste qui continue encore d'apparaĂźtre dans les jeux de la licence. Du cĂŽtĂ© des antagonistes, Albert Wesker, connu par les fans pour ĂȘtre l'un des plus grands mĂ©chants de la saga Resident Evil, fait une entrĂ©e remarquĂ©e. Un affrontement au sommet se profile tout au long du film jusqu'Ă une confrontation finale pour le moins Resident Evil Afterlife sur Prime VideoPresseMetacritic37%RottenTomatoes21% Bande-annonce de Resident Evil Afterlife Resident Evil RetributionResident Evil Retribution, sorti une dĂ©cennie aprĂšs le premier film, amĂšne doucement, mais sĂ»rement le grand final de cette saga menĂ©e par Paul Anderson. Les souvenirs d'Alice ont Ă©tĂ© modifiĂ©s par Umbrella Corporation et tout au long du long-mĂ©trage, elle sera tiraillĂ©e entre rĂȘves et rĂ©alitĂ©, entre ceux qui semblent ĂȘtre ses alliĂ©s et ses ennemis. Toutefois, la fin qui voit Albert Wesker se prĂ©parer Ă affronter des lĂ©gions de zombies aux cĂŽtĂ©s des protagonistes, Alice interprĂ©tĂ©e par Milla Jovovich en tĂȘte, est probalement ce qui a le plus marquĂ© les fans de la franchise. Cette situation inimaginable dans les jeux a surpris plus d'un Resident Evil Retribution sur Prime VideoPresseMetacritic39%RottenTomatoes28% Bande-annonce de Resident Evil Retribution Resident Evil Chapitre finalComme son nom l'indique, Resident Evil Chapitre final est la conclusion de la saga cinĂ©matographique de Paul W. S. Anderson. Elle sera arrivĂ©e aprĂšs 5 films s'Ă©tant Ă©talĂ©s sur une pĂ©riode de 14 ans. Une bonne fois pour toutes, Alice va devoir mettre fin aux agissements d'Umbrella Corporation. Pour rester dans la veine d'Afterlife et de Retribution, un vĂ©ritable festival d'effets spĂ©ciaux et de combats surrĂ©alistes nous est proposĂ©. Puis vient le roulement des crĂ©dits et avec, la fin de la longue collaboration entre le rĂ©alisateur britannique et Resident Bande-annonce de Resident Evil Chapitre final Resident Evil Welcome to Raccoon CityAprĂšs Paul W. S. Anderson, c'est Johannes Roberts qui reprend la lourde tĂąche d'adapter la franchise. NĂ©anmoins, ce dernier cherche avant tout Ă ĂȘtre fidĂšle Ă l'univers de Capcom. Son but concernant Resident Evil Welcome to Raccoon City est de combiner l'histoire des deux premiers jeux en un seul long-mĂ©trage. D'un cĂŽtĂ©, nous retrouvons les Ă©vĂ©nements du premier opus se dĂ©roulant dans le manoir Spencer, et de l'autre le pĂ©riple de LĂ©on et Claire au cĆur d'une ville et d'un commissariat en proie au chaos. Tout cela en moins de 100 minutes. Ce dĂ©fi de taille, qualifiĂ© d'insurmontable par certains, oblige le rĂ©alisateur Ă prendre plusieurs raccourcis narratifs assez Ă©vidents qui desservent au final l'histoire. De plus, nous parlons lĂ de transposer avec de vrais acteurs un scĂ©nario et des personnages aux rĂ©pliques un brin "nanardesques". Si la pilule passe bien en jeu vidĂ©o, elle s'avĂšre plus difficile Ă avaler en prises de vues Bande-annonce de Resident Evil Welcome to Raccoon City Et le meilleur film Resident Evil est ?DâaprĂšs la presse internationale, et plus particuliĂšrement celle occidentale, le meilleur film Resident Evil est nul autre que la conclusion de la saga initiĂ©e, scĂ©narisĂ©e, rĂ©alisĂ©e et produite selon les Ă©pisodes par Paul Anderson et incarnĂ©e Ă lâĂ©cran par Milla Jovovich. Resident Evil Chapitre final est talonnĂ© de prĂšs voire dĂ©passĂ©, Ă en croire la presse française, par le reboot de Johannes Roberts. Ce retour Ă Raccoon City peine toutefois Ă faire l'unanimitĂ©. Le podium est complĂ©tĂ© sans grande surprise par le premiĂšre adaptation cinĂ©matographique de la saga horrifique de Capcom, Ă savoir Resident Evil de des autres adaptations ?La saga Resident Evil se rĂ©pand sur tous les continents depuis la sortie du premier Ă©pisode en mars 1996, et sâattaque rĂ©guliĂšrement aux autres mĂ©dias. Les infectĂ©s de Capcom se jettent goulĂ»ment sur les mangas, les films et les sĂ©ries en prises de vues rĂ©elles ou d'animation. Nous avons dĂ©terminĂ© ci-dessus le meilleur long mĂ©trage Resident Evil pour ce qui est du cinĂ©ma Live Action. Il existe pourtant dâautres projets qui, Ă la diffĂ©rence de la saga de Paul Anderson et du reboot de Johannes Roberts, enrichissent directement lâunivers de la sĂ©rie films dâanimation Resident Evil Degeneration 2008, Resident Evil Damnation 2012 et Resident Evil Vendetta 2017 prennent ainsi place dans la chronologie officielle des Ă©vĂ©nements, et il en va de mĂȘme pour la sĂ©rie Resident Evil Infinite Darkness exclusive Ă Netflix. La plateforme de SVOD produit Ă©galement une sĂ©rie Live Action dont la sortie reste Ă ce jour novembre 2021 inconnue. Sobrement intitulĂ©e Resident Evil, cette adaptation dĂ©bute 30 ans aprĂšs la dĂ©tection du virus T alors quâune Ă©pidĂ©mie met en lumiĂšre les secrets de la tristement cĂ©lĂšbre multinationale Umbrella Resident Evil Degeneration, Damnation et Vendetta sur NetflixVoir Resident Evil Infinite Darkness sur Netflix Bande-annonce de Resident Evil Infinite Darkness En savoir + sur Resident Evil Welcome to Raccoon City
Films La franchise de Capcom a droit Ă un reboot cinĂ©matographique, qui se dĂ©marque dĂ©jĂ des prĂ©cĂ©dents films, mais sans jamais briller. La mode des adaptations de jeux vidĂ©o au cinĂ©ma a vraiment explosĂ© avec Resident Evil, film d'horreur rĂ©alisĂ© par Paul Anderson, produit par Constantin Film et mettant en scĂšne Alice, un personnage inĂ©dit incarnĂ© par Milla Jovovich. Un succĂšs commercial, mais un massacre pour tous les fans de la franchise, les films ont vite oubliĂ© les jeux de Capcom pour faire leur vie dans leurs coins. Et voilĂ que quatre ans aprĂšs le Chapitre Final, la paire P A et Constantin Film est de retour Ă la production de Resident Evil Bienvenue Ă Raccoon City. Cette fois, les producteurs ont changĂ© leur fusil d'Ă©paule, et ce reboot se base rĂ©ellement sur les deux premiers jeux vidĂ©o de la saga, Ă savoir Resident Evil Rebirth et Resident Evil 2 le remake, dans le manoir Spencer Ă Arklay et au commissariat de Raccoon City donc. DerriĂšre la camĂ©ra, nous avons Johannes Roberts, habituĂ© des films d'horreur vraiment pas terribles et des 47 Meters Down, un rĂ©gal pour les amateurs de requins et de sang, mais c'est tout. Alors, que vaut ce Resident Evil Bienvenue Ă Raccoon City ? Eh bien, pas grand-chose malheureusement, mais tout n'est pas Ă jeter. Nous n'avons pas passĂ© un trop mauvais moment devant ce Resident Evil Bienvenue Ă Raccoon City. Le film s'ouvre sur un flashback d'une jeune fille orpheline dans un orphelinat créé par Umbrella. Les scĂ©naristes ne font pas dans la finesse et veulent ici donner de la profondeur Ă certains personnages, qui en ont en effet bien besoin. Cette jeune fille, c'est Claire Redfield, coincĂ©e dans ce lieu lugubre avec son frĂšre Chris pour subir les expĂ©rimentations de William Birkin, et dĂšs le dĂ©but, le fan des jeux vidĂ©o passe par plusieurs Ă©motions. L'enfance des Redfield est rarement abordĂ©e dans les jeux, mais en y rĂ©flĂ©chissant bien, leurs personnages ne sont vraiment pas caractĂ©risĂ©s dans les deux premiers titres de Capcom, il fallait bien le faire ici, et cela fonctionne, moyennement. C'est surtout un prĂ©texte pour Ă©loigner les deux enfants, expliquer la tension qui les anime encore aujourd'hui et installer le personnage de Claire Redfield, la seule Ă avoir eu droit Ă un peu d'attention de la part des scĂ©naristes. Si vous connaissez les jeux vidĂ©o, vous n'allez pas vraiment ĂȘtre surpris, mĂȘme si Resident Evil Bienvenue Ă Raccoon City prend des risques en mĂ©langeant vraiment les deux jeux, donnant lieu Ă des rencontres inĂ©dites cocasses. La trame de l'histoire suit celles des jeux vidĂ©o, avec bien sĂ»r de gros raccourcis, il fallait bien rĂ©unir tous ces personnages et caser l'ensemble dans 1h47 de film. Mais mine de rien, le scĂ©nario se dĂ©roule sans temps morts, les fans reconnaissent presque chaque sĂ©quence sans que cela ne soit trop appuyĂ©, Resident Evil Bienvenue Ă Raccoon City ne prend pas le spectateur pour un idiot et tente rĂ©ellement de contenter les joueurs, mĂȘme si cela est souvent fait de maniĂšre trĂšs maladroite. Et ça passe notamment par une Ă©criture catastrophique du cĂŽtĂ© des personnages. Nous l'avons dĂ©jĂ dit, Claire Redfield vole la vedette Ă tout le monde. DĂ©jĂ , parce que son personnage est central au scĂ©nario et qu'elle est incarnĂ©e par Kaya Scodelario Le Labyrinthe, la seule qui ne semble pas issue d'un casting alcoolisĂ© fait aprĂšs avoir visionnĂ© un fan film. Ne crachons pas non plus trop sur Chris Robbie Amell, il a la carrure de l'emploi, mais son personnage reste trĂšs sous-exploitĂ©, cantonnĂ© Ă Mr Muscle. Jill Valentine est cependant Ă des annĂ©es-lumiĂšre du personnage des jeux vidĂ©o, devenant ici une femme impulsive, Hanna John-Kamen Black Widow a du mal Ă faire ressortir les souvenirs des joueurs, prĂ©fĂ©rant donner vie Ă un personnage nouveau, mais n'est pas si mauvaise. Mais le vrai problĂšme de ce casting, ce sont Leon S. Kennedy et Albert Wesker. Ce dernier est ici moins caricatural que dans les jeux, parfois drĂŽle et mĂȘme touchant, dĂ©passĂ© par les Ă©vĂšnements qui surviennent Ă Arklay, mais campĂ© par un Tom Hopper toujours Ă l'ouest dans son jeu, n'arrivant jamais Ă transmettre la bonne Ă©motion. Et Leon... eh bien, disons que son personnage ne sert absolument Ă rien dans le film, et qu'Avan Jogia Ă©tant le sosie parfait de Carlos Oliviera Resident Evil 3, l'immersion est complĂštement ratĂ©e, allant mĂȘme jusqu'Ă lĂącher une punch line digne des pires films d'action Ă la toute fin, bien loin de son rĂŽle de jeune flic novice dans les jeux. Certes, comparer les jeux vidĂ©o au film n'est pas forcĂ©ment la chose Ă faire, mais mĂȘme en ne se focalisant que sur ce long-mĂ©trage, les personnages manquent de profondeur, les scĂ©naristes ont voulu caser trop de monde en trop peu de temps, en rĂ©sultent des caractĂ©risations bien trop rapides et un attachement Ă ces hĂ©ros quasi inexistant tout au long du film. Comme les jeux de Capcom, Resident Evil Bienvenue Ă Raccoon City est vendu comme un film d'horreur, interdit aux moins de 12 ans dans les salles de cinĂ©ma françaises, et il faut bien avouer qu'il fait le job, si vous aimez les jump scares prĂ©visibles avec le son qui vous casse les tympans. Johannes Roberts ne fait pas dans la finesse, avec des zombies ou autres Ă©lĂ©ments qui surgissent d'un coup sur les personnages, c'est de l'horreur pop corn, mais il faut bien avouer que cela fonctionne si vous ĂȘtes amateur du genre. Le film aurait Ă©galement pu ĂȘtre une Ćuvre gore, si le sang n'Ă©tant pas aussi sombre, cachĂ© par un Ă©clairage lui aussi peu lumineux. Et pourtant, des morts sanglantes, il y en a, mais pas de quoi choquer les habituĂ©s de l'horreur, en film ou en jeu vidĂ©o. Et il ne manque que les monstres... Resident Evil Bienvenue Ă Raccoon City pioche dans le bestiaire de Resident Evil Rebirth le remake GameCube du premier volet et de Resident Evil 2, avec notamment un Licker furtif, sur-utilisĂ© dans les bandes-annonces, mais finalement peu prĂ©sent, ne donnant lieu qu'Ă un combat... improbable, nous n'en dirons pas davantage pour ne pas vous gĂącher la surprise. L'occasion de mentionner les effets spĂ©ciaux en 3D, qui permettent des animations plus fluides, mais qui manquent encore pas mal de budget pour impressionner les joueurs, habituĂ©s aux cinĂ©matiques dĂ©sormais photorĂ©alistes dans les jeux. Et pourquoi parler de RE Rebirth ? Eh bien, parce que Lisa Trevor est de la partie, cette jeune fille au visage cachĂ© par la peau du cadavre de sa mĂšre dans le jeu vidĂ©o a ici pas mal de temps Ă l'Ă©cran et arrive Ă ĂȘtre Ă la fois effrayante et touchante, comme dans le jeu donc. Pour le coup, c'Ă©tait une bonne surprise, et cela compense avec les zombies, pourtant centraux dans Resident Evil. Ici, les infectĂ©s au Virus-T sont quand mĂȘme trĂšs mal maquillĂ©s, ressemblant davantage Ă des goules malades qu'Ă des crĂ©atures en putrĂ©faction, mĂȘme s'il est vrai que l'incident est assez rĂ©cent. D'ailleurs, nous voyons rĂ©guliĂšrement la ville de Raccoon City sombrer petit Ă petit dans l'horreur, une originalitĂ© bienvenue et qui montre l'Ă©tendue de la catastrophe, pas seulement cantonnĂ©e Ă un manoir dans les montages ou Ă un commissariat. S'il y a bien un point sur lequel Resident Evil Bienvenue Ă Raccoon City nous a Ă©tonnĂ©s, c'est sur sa mise en scĂšne. Le rĂ©alisateur n'est pas douĂ©, nous l'avions dĂ©jĂ vu dans les 47 Meters Down, mais il a visiblement Ă©tĂ© aidĂ© par son directeur de la photographie Maxime Alexandre Crawl, Shazam!, Catacombes et le film nous propose quelques fulgurances, comme un plan-sĂ©quence dans une voiture principalement Ă l'arrĂȘt, mais quand mĂȘme ou encore l'utilisation d'une double focale, un vieux trucage pour avoir une image entiĂšrement nette malgrĂ© deux profondeurs de champ. Pour un film qui ressemble quand mĂȘme dans son ensemble Ă un fan movie avec un peu de budget, c'est apprĂ©ciable, et cela dĂ©montre bien un point Resident Evil Bienvenue Ă Raccoon City essaye de faire des choses. Il tente des idĂ©es, ose des mises en scĂšne atypiques, Ă l'image d'un combat entre Chris et des zombies Ă©clairĂ© au briquet, petit clin d'Ćil Ă l'objet des jeux et qui accouche d'une rĂ©elle tension, mĂȘme si l'image alternant entre le noir total et la lumiĂšre de la flamme n'arrive pas Ă sublimer la tentative. Mais le film ne se contente pas de cadrer bĂȘtement ses plans, de filmer des combats nerveux rassurez-vous, aucun coup spĂ©cial de kung-fu n'est lĂąchĂ© ici, il ose placer la camĂ©ra Ă des endroits inattendus, soigne son Ă©clairage pour mettre en avant certains Ă©lĂ©ments comme le manoir d'Arklay et, mĂȘme si cela reste rare ou maladroit, le spectateur apprĂ©cie l'effort. Avouons-le, aprĂšs avoir souffert pendant des annĂ©es avec la saga de Paul Anderson, nous craignions d'aller voir ce Resident Evil Bienvenue Ă Raccoon City, mais finalement, le film se laisse regarder. Il est loin d'ĂȘtre une rĂ©ussite, l'Ă©criture est globalement ratĂ©e Ă force de vouloir mettre trop de choses dans un seul long-mĂ©trage, le casting est vraiment en dents de scie, les effets spĂ©ciaux auraient mĂ©ritĂ© un peu plus de soin, mais grĂące Ă sa mise en scĂšne qui tente des choses et ses nombreuses rĂ©fĂ©rences aux jeux vidĂ©o, souvent bien utilisĂ©es et rarement forcĂ©es, nous n'avons pas passĂ© un trop mauvais moment devant ce Resident Evil Bienvenue Ă Raccoon City. Bon, il y a bien une scĂšne post-gĂ©nĂ©rique teasant une suite, mais il ne faut pas trop pousser non plus... Note 2 Ă©toiles sur 5 Si vous voulez un vrai bon Leon S. Kennedy, tournez-vous vers le remake de Resident Evil 2, vendu 24,02 ⏠sur Amazon, 29,99 ⏠à la Fnac ou 19,99 ⏠chez Micromania. Clint008RĂ©dacteur - Testeur
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