LaRubrikabrax. Kabrok, alias le Corbeau Noir, est un Osamodas de l’Ère du Wakfu. Au premier abord, ses desseins peuvent sembler aussi sombres que les profondeurs de la Mer d’Asse. Pourtant, ce bandit-marchand rĂȘve simplement d’aventure et de rĂ©approvisionner son magasin pour sa chĂšre Miranda ! 11 Novamaire 13 Novamaire. Cest au cours d'un comitĂ© de pilotage exceptionnel, ce lundi 1er aoĂ»t, que le ministĂšre chargĂ©e des Outre-mer a annoncĂ© de nouvelles mesures pour la lutte contre les algues brunes. Agent/ Agente de propretĂ© de locaux. Emploi Wihr-au-Val, 68, Haut-Rhin, Grand Est. vous effectuez l'entretien des locaux le mercredi de 11H30 Ă  14H et une semaine sur deux jusqu'Ă  13H30 annonces autour de Wihr-au-Val annonces dans le dĂ©partement Haut-Rhin Agent / Agente de propretĂ© de locaux. Emploi Redon, 35, Ille-et-Vilaine, Bretagne ÿûÄInfo YY‘áM !#&)+.0358;=@BEGJMORTWY\_adfiknqsvx{}â‚ŹÆ’Ë†Ć  â€™â€â€”ĆĄĆ“ĆžÂĄÂ€ÂŠÂ©Â«ÂźÂ°ÂłÂ”ÂžÂșÂœÂżĂ‚Ă„Ă‡ĂŠĂŒĂĂ‘Ă”Ă–Ă™ĂœĂžĂĄĂŁĂŠĂšĂ«ĂźĂ°ĂłĂ”ĂžĂșĂœ9LAME3 Villales Terrasses (Villa Les Terrasses) - Fournissant une piscine en plein air, une vĂ©randa pour se bronzer et un sauna, cet appartement les Terrasses est Ă  20 km de l'aĂ©roport de Toulon-HyĂšres. Le fort Saint-Louis est fixĂ© Ă  3,1 km de cet appartement, tandis que le MusĂ©e National de la Marine est Ă  3,4 km. Vay Tiền Nhanh Ggads. Vous souhaitez partager vos impressions, apporter une prĂ©cision, lĂ©gender une image ?Pas encore de contribution Votre nom requis Votre adresse e-mail - ne sera pas publiĂ©e requis Votre commentaire +16EdalisaeEaglesZatouChaussonSo-DefectedSempiternalHydrowBukidoAikiraPetrovaRycardĂ”DryzztKirraNuanenEulalieThend20 participantsAller Ă  la page 1, 2 AuteurMessageThendMushishiMessages 967Date d'inscription 31/08/2010Localisation Vagabonde Ă  la recherche de 27Mon personnageClasse EcaflipNiveau 1000/1000Alignement BontarienSujet RĂ©action Bac Lun 18 Juin 2012 - 1224 Un petit sujet pour discuter du bac entre nous et surtout pour ceux qui sont dans la mĂȘme merde que moi !Pour ma part ce matin c'etait le texte sur Berkeley et l’obĂ©issance passive qui m'a le plus inspirĂ© . Je pense m'en ĂȘtre sorti pas trop mal , une explication asse consĂ©quente et 4 pages pour un rendu final !Et vous, comment sa s'est passĂ© ? EulaliePhilosopheMessages 109Date d'inscription 27/07/2011Localisation ToulonAge 28Mon personnageClasse IopNiveau 200/200Alignement BontarienSujet Re RĂ©action Bac Lun 18 Juin 2012 - 1557 Deux rĂ©daction a faire une sur la mobilitĂ©s de la population en France mĂ©tropolitaine, en gros fallait prĂ©senter les diffĂ©rents types de mobilisations genre les mobilitĂ©s quotidiennes, saisonniĂšre Ă  plus long terme Ă  l'Ă©chelle rĂ©gionale ou national en une autre rĂ©daction en français sur la production artistique film, roman, peinture, chanson en gros savoir si la production artistique est un moyen efficace pour s'exprimer son rapport au monde, son engagement et ses valeurs. NuanenDucMessages 510Date d'inscription 06/07/2011Localisation Entre VĂ©nus et Mars ?Age 28Mon personnageClasse PandawaNiveau 42/42Alignement BontarienSujet Re RĂ©action Bac Lun 18 Juin 2012 - 1642 Face aux deux dissertations aux Ă©noncĂ©s plus ou moins Ă©vocateurs, jugez plutĂŽt -Avons-nous le devoir de chercher la vĂ©ritĂ©? -Serions-nous plus libres sans l'Etat?Face Ă  ça donc, j'ai prĂ©fĂ©rĂ© Ă©tudier le texte de Rousseau extrait de L'Emile traitant de l'Ă©ducation, entraĂźnant un blablatage sur libertĂ©, travail & co... Boarf, je crois que ça s'est bien passĂ©, mais vu les notes que je me tape quand je dis ça en sortant, ça doit pas ĂȘtre gĂ©nial! Un peu plus de cinq pages de hiĂ©roglyphes Ă  dĂ©chiffrer, bons baisers de Bretagne Ă  mon correcteur!A demain pour de nouvelles aventures historicogĂ©ographiques, youhou! KirraMaitresse des dindesMessages 626Date d'inscription 14/07/2011Localisation xibalbaAge 30Mon personnageClasse XĂ©lorNiveau 200/200Alignement BontarienSujet Re RĂ©action Bac Lun 18 Juin 2012 - 1850 pareil que solenn , j'ai pris le texte, je pense m'en etre mieux sortie que d'habitude, j'ai ecris 6 pages et j'ecris petit c'est la premiere fois que j'ecris autant ,on verra bien, j'espere avoir au moins 8 xD ! ThendMushishiMessages 967Date d'inscription 31/08/2010Localisation Vagabonde Ă  la recherche de 27Mon personnageClasse EcaflipNiveau 1000/1000Alignement BontarienSujet Re RĂ©action Bac Mar 19 Juin 2012 - 1228 Reaction d'aujourd'hui Enorme fail , en carte la Russie et une carte sur le monde chelou .. Puis en histoire des sujets bien trop compliquĂ©s !Vous l'avez compris , je me suis complĂ©tement chier ! Amen. EulaliePhilosopheMessages 109Date d'inscription 27/07/2011Localisation ToulonAge 28Mon personnageClasse IopNiveau 200/200Alignement BontarienSujet Re RĂ©action Bac Mar 19 Juin 2012 - 1240 Bac Pro passĂ© aujourd'hui j'ai eu droit Ă  la RĂ©gulation, les vannes trois voie, les bipasses, l'hydrolique, le traitement de l'air & de l'eau, les diagrammes de l'air et enthalpique.. Et plein d'autre chose, je me suis merdĂ© ! DryzztRoiMessages 1064Date d'inscription 03/12/2010Localisation Sierra LeoneAge 28Mon personnageClasse SacrieurNiveau 193/200Alignement BontarienSujet Re RĂ©action Bac Mar 19 Juin 2012 - 1319 J'ai tout fait pĂ©ter sur l'europe dans la guerre froide 3 10pages et demi, j'ai Ă©galement jamais autant Ă©cris j'vais finir avec un tendinite ... KirraMaitresse des dindesMessages 626Date d'inscription 14/07/2011Localisation xibalbaAge 30Mon personnageClasse XĂ©lorNiveau 200/200Alignement BontarienSujet Re RĂ©action Bac Mar 19 Juin 2012 - 1339 YOUHOUUUUUU la mĂ©diterranĂ©e !! je la voulais et je l'ai eu par contre etude de doc , sur l'ONU, j'ai pas eu le temps de finir du coup j'ai baclĂ© la mini dissert' EulaliePhilosopheMessages 109Date d'inscription 27/07/2011Localisation ToulonAge 28Mon personnageClasse IopNiveau 200/200Alignement BontarienSujet Re RĂ©action Bac Mar 19 Juin 2012 - 1343 J'ai eu Ă©galement l'ONU avec les droits de l'homme, la chute du mur de Berlin & l'attentat du 11 septembre.. En histoire, gĂ©ographie & Ă©ducation civique. DryzztRoiMessages 1064Date d'inscription 03/12/2010Localisation Sierra LeoneAge 28Mon personnageClasse SacrieurNiveau 193/200Alignement BontarienSujet Re RĂ©action Bac Mar 19 Juin 2012 - 1346 Au fait j'ai pris la carte sur les Sud, ça devrait le faire j'pense pTu vois Lise, je t'avais dis que ça irait pPar contre je suis déçu, pas de guerre d’AlgĂ©rie, pourtant on fĂȘte les 50ans d'indĂ©pendance dans 14jours exactement, c'est triste... Revoir deux des actions les plus honteuses de la France durant le 20e, quelle joie je me faisait / NuanenDucMessages 510Date d'inscription 06/07/2011Localisation Entre VĂ©nus et Mars ?Age 28Mon personnageClasse PandawaNiveau 42/42Alignement BontarienSujet Re RĂ©action Bac Mar 19 Juin 2012 - 1716 Ben moi j'ai pris la carte "Centres d'impulsion et inĂ©galitĂ©s de dĂ©veloppement dans le monde", sachant que je connaissais que les trois sur les USA et les deux sur l'Asie, ça sent le foirage...Quant Ă  la dissert', "La cinquiĂšme rĂ©publique institutions et vie politique", ça doit pas ĂȘtre jojo non plus, un peu plus de six pages dont trois dĂ©crivant en dĂ©tail les institutions ben ouais ça prend plus de place en phrases qu'en schĂ©ma, donc tant qu'Ă  faire..., les autres pages n'Ă©tant qu'un tissu trouĂ© de mes vieux rogatons de souvenirs moisis. Bon. Demain on va rire, et jeudi les choses sĂ©rieuses commencent! KirraMaitresse des dindesMessages 626Date d'inscription 14/07/2011Localisation xibalbaAge 30Mon personnageClasse XĂ©lorNiveau 200/200Alignement BontarienSujet Re RĂ©action Bac Mar 19 Juin 2012 - 1729 omg ..... vous savez de quoi je viens de me rendre compte ? en philo .... j'ai marquĂ© que c'etait un texte de emile rousseau .... -_____________- je crois que cette fois je peux me pendre ThendMushishiMessages 967Date d'inscription 31/08/2010Localisation Vagabonde Ă  la recherche de 27Mon personnageClasse EcaflipNiveau 1000/1000Alignement BontarienSujet Re RĂ©action Bac Mar 19 Juin 2012 - 1805 Dans le mĂȘme cas exactement Nuanen Oula merde ,comment tu t'y es pris Kirra ? O KirraMaitresse des dindesMessages 626Date d'inscription 14/07/2011Localisation xibalbaAge 30Mon personnageClasse XĂ©lorNiveau 200/200Alignement BontarienSujet Re RĂ©action Bac Mar 19 Juin 2012 - 1903 a la fin du texte il y avait ROUSSEAU, Emile du coup j'ai fait la confusion , et jsuis conne parce qu'en plus je me suis pourquoi ils ne disent pas d'ou ils ont tirĂ© l'extrait > 14/20 au de moyenne en physique/chimie. ==> 14/20 au de moyenne en SVT ==> 16/20 au n'a que ce qu'on mĂ©rite? Pas sĂ»r. J'ose mĂȘme pas dire que je suis chanceux tellement ça paraĂźt insuffisant pour expliquer ce miracle. Maintenant il faut que je cherche une fac .Ps Amwa le coffret collector de La Colline aux Coquelicoooooots! ThendMushishiMessages 967Date d'inscription 31/08/2010Localisation Vagabonde Ă  la recherche de 27Mon personnageClasse EcaflipNiveau 1000/1000Alignement BontarienSujet Re RĂ©action Bac Ven 6 Juil 2012 - 1320 Bravo Nua et Buki J’espĂšre que vous fĂȘterez sa dignement .Pour ma part encore 2h30 Ă  attendre .. Contenu sponsorisĂ© Le Deal du moment Cartes PokĂ©mon oĂč commander le coffret ... Voir le deal € Famakna Food Rez-de-ChaussĂ©e du Bistrot RĂ©cits et aventures [RP] Les Ă©tagĂšres de la BibliothĂšque RĂ©cits d'Aventuriers 4 participantsAuteurMessageTeyndoAncien Foodien Nombre de messages 1011Age 32Phrase favorite Je ne suis pas PETIT !Humeur Taquin Classe Eniripsa TerreClasses Date d'inscription 06/01/2010Sujet La Mer d'Asse, son histoire. Mar 2 FĂ©v - 2115 [HRP] Voila un Rp que j'ai Ă©crit il y a un moment, lors d'un stage. J'espĂšre qu'il vous plaira! Il est terminĂ© mais si long que je vais le mettre en plusieurs chapitres. N'hĂ©sitez pas Ă  me signaler toute incohĂ©rence ou faute d'orthographe! [/HRP]CHAPITRE IAlors que tout le monde se pressait autour de moi, je resserrai ma cape sur mon cou d’un geste nerveux et considĂ©rai la salle. Partout les regards Ă©taient posĂ©s sur moi les gens venus du village pour m’écouter, les piliers de bar qui n’avait rien d’autre Ă  faire que de me regarder et les enfants montĂ©s sur les tables pour espĂ©rer mieux entendre. Il y avait mĂȘme parmi eux un ou deux Xelor que leur petite taille forçait Ă  grimper eux aussi sur des chaises ou des tabourets. L’angoisse commençait Ă  me peser et le tintement sinistre des verres entrechoquĂ©s les uns dans les autres ne faisait rien pour arranger mon inquiĂ©tude. Je n’avais pas l’habitude de donner confĂ©rence devant autant de monde mais il y avait bien trop longtemps que je connaissais cette histoire, bien trop longtemps que je gardais ce secret et aussi trop longtemps que je comptais d’autres histoire que celle que je m’apprĂȘtais Ă  leur apprendre. Je m’étais toujours garder d’en parler de peur de la rĂ©action des autres, ce secret m’avait coutĂ© trop cher pour ĂȘtre divulguĂ© devant n’importe quelle assemblĂ©e mais aujourd’hui, je ne supportais plus d’entendre les gens nommer cette mer n’importe comment. Je me devais de leur parler de la vĂ©ritable histoire de la mer d’asse. Rien que pour
son qui devait annoncer mon entrĂ©e me fit signe de le rejoindre sur l’espĂšce d’estrade que le tavernier avait installĂ© pour m’accueillir. Je m’avançais donc devant la foule, plus angoissĂ©e que jamais. Maintenant j’en Ă©tais sur, plus une seule personne de la taverne d’amakna avait les yeux rivĂ©s ailleurs que sur moi. Ce fut une impression trĂšs dĂ©sagrĂ©able. Pour dissiper le malaise qui me nouait de plus en plus la gorge, je commençai d’une fausse voix enjouĂ©e-Bien le bonjour nobles aventuriers de tout Ăąge ! Si je vous ai convoquĂ© en ce lieu aujourd’hui c’est pour vous parler de cette bonne vielle Mer d’asse. Tout le monde la connait, tout le monde a dĂ©jĂ  trempĂ© son pied gauche dedans sous prĂ©texte que cela porte bonheur mais qui d’entre vous connait le vĂ©ritable nom de cette mer ? 
Qui d’entre vous connait la personne qui lui a donnĂ© son nom ? DĂ©jĂ  autour de moi, des gens souriaient. D’autre me regardait d’un air sceptique. Je m’y attendais, les gens n’aiment pas que l’on perturbe leur quotidien et leur dire que cette mer qui borde leur port adorĂ© n’est pas celle que l’on croit les rend de mauvaise humeur. Sans comptĂ© ce que je m'apprĂȘtais Ă  leur rĂ©vĂ©ler sur le chĂąteau d'Amakna. Cependant, je ne pouvais plus reculer et histoire me vient de loin. De trĂšs loin ! Vous ne pouvez imaginer ce que j’ai endurĂ© pour pouvoir vous la dicter en ce soir
Survivre Ă  la compagnie d’un vieil Ă©nutrof alcoolique pendant plus de trois mois est quelques chose de particuliĂšrement dĂ©sagrĂ©able que je ne souhaite Ă  personne. Ouvrez donc grand vos esgourdes et Ă©coutez ce qui l’éni qui m’accompagne toujours siffla quelques notes dans sa flute de pan. Les gens Ă©coutaient captiver par ma voix et par l’instrument. Les deux combinĂ©s avaient toujours eu le pouvoir de fasciner les gens, ce qui arrangeait les srams qui pouvaient pendant ce temps lĂ  soulager tranquillement les bourses des villageois qui avaient alors le regard aussi vide que celui d’une dragodinde ou dun iop devant une addition. Engaillardie par les notes de mon compagnon je poursuivis Il est un nom que bien des gens ont oubliĂ© depuis longtemps. A dire vrai, seul certains mĂ©nestrels ou vieux sage le connaisse encore. Il fait parti de ceux dont l’histoire Ă  avaler la vie et le passĂ© effacĂ© les quelques traces qui pouvait encore en tĂ©moigner l’existence. Il s’agit du nom d’un prince
d’un prince qui n’est jamais montĂ© sur le trĂŽne de notre bon vieux chĂąteau mais qui pourtant a donner son nom a notre belle mer. C’était il y a longtemps, bien avant le rĂšgne de sa majestĂ© Allister –puisse t’il s’étouffer avec un steak de dragodinde -, bien avant le rĂšgne de son pĂšre, bien avant le rĂšgne de son grand pĂšre
 A la crĂ©ation mĂȘme de ce chĂąteau, naquit un prince rĂ©pondant au doux nom d’Astar. Astar Ă©tait le fils de Karam, le roi qui ordonna la construction de ce chĂąteau. Un roi trĂšs dur et bien occupĂ© puisqu’à lui seul il ordonna la construction du port de madestram en plus de celle de ce lieu, il lutta activement contre les factions de guerriers Bontariens ou Brakmariens qui tentait de prendre son chĂąteau comme lieu fort et enfin, fut tout aussi occupĂ© par l’éducation de son fils. Sa femme, gravement malade depuis sa couche, il devait assumer entiĂšrement l’éducation de son seul hĂ©ritier destinĂ© Ă  rĂ©gner sous peu. Il devait lui apprendre Ă  gouverner le plus vite possible en cas de coup dur pour qu’il soit digne de succĂ©der Ă  son pĂšre. Toute son enfance, le prince l’avait passĂ© entourĂ© d’érudit lui bourrant le crĂąne de phrases toutes faites, entourĂ© de livres qu’il peinait parfois mĂȘme Ă  soulever tant leurs poids Ă©tait imposant. Il avait aussi passĂ© des nuits Ă  se tordre de douleur dans son lit tant ses articulations le faisaient souffrir, malmenĂ©es par un entrainement trop intensif. Plus tard Astar croulait sous le travail dĂšs son rĂ©veil Apprendre Ă  monter sur une dragodinde, s’occuper des rĂ©clamations du petits peuple du village d’amakna, apprendre l’escrime et les valeurs d’un bon combattant, apprendre Ă  recevoir des gens terriblement ennuyeux et ne pas faire mine de soupirer ou bailler au bout de la 15 eme minutes, tout cela Ă©tait beaucoup trop pour notre jeune prince. Celui-ci retournait dans sa chambre seulement des heures aprĂšs la tombĂ©e du jour, harassĂ© de fatigue. Il se confiait alors Ă  sa servante qui Ă©tait sa seule confidente Ă©tant donnĂ© qu’il n’avait jamais le temps de discuter avec d’autres je n’en puis plus
Mon pĂšre va me tuer au travail !-Je le sais mon prince je le sais. Mais patience et tout finira par s’arranger. Lorsque vous aurez atteint les objectifs que sa majestĂ© vous a fixĂ©, vous serez tranquille indĂ©finiment. Contrairement Ă  ce qu’avait pensĂ© LĂ©onia, rien ne s’arrangea. Le lendemain matin, Rosal lui mĂȘme accourut aux portes du chĂąteau. DĂšs qu’il entra, un parfum de milles fleurs se rĂ©pandit dans les vastes cours. Les servantes rĂ©veillĂšrent le prince qui fut convier Ă  assister Ă  la rencontre Ă  condition de rester silencieux. Le roi reçut le protecteur du mois de fevriar aussitĂŽt en grande pompe et Ă©couta ce qu’il avait Ă  lui le maitre des fleurs dĂ©tourna les mets que l’on lui offrait et fixa le roi tout en lui annonçant d’une voix qu’il voulait neutre, et pourtant il paraissait inquiet .Sa voix sonna aussitĂŽt faux car il n’était plus de secret que sa majestĂ© et rosal Ă©tait des amis de longues dates -Une armĂ©e ce dirige vers toi Ô petit roi. Alors que je parcourais les champs pour veiller mon mois, j’ai vu de terribles choses
Djaul a lancĂ© une offensive contre toi et ses armĂ©es sont actuellement en marche dans la plaines des scarafeuilles. Toute une troupe s’avance inexorablement sur ton chĂąteau. PrĂ©pare tes hommes, fait souffler les forges car le combat qui s’annonce s’avĂšre rude pour le visage du roi changea du tout au tout. Il fronça les sourcils et se mordit la lĂšvre infĂ©rieur. Ces dĂ©tails ne manquĂšrent pas au jeune homme assis en face de lui -Fait Ă©quiper ton peuple si tu crains que tes soldats ne soit pas de taille Ă  eux seuls face Ă  cette troupe. -Mon peuple est particuliĂšrement remontĂ© contre moi en ce moment, il refusera de prendre les armes
Nous sommes au bord de la rĂ©bellion. Si les gens d’amakna apprennent que nous ne sommes pas de taille face a cette armĂ©e, ils seront les premiers Ă  forcer les remparts. Non..Je dois simplement lancer tous mes hommes dans la bataille
 regard passa alors un instant sur son fils qui assistait Ă  la scĂšne en silence. A ce moment personne ne pu dire ce qu’il se lisait au fond de ses yeux, le vieux roi les avaient fermĂ©s et s’était jours suivant, tout le personnel du chĂąteau se mis en branle. Les chevaliers furent Ă©quipĂ©s de pied en cape, on prĂ©para les dragodindes de combat, les rumeurs et les bruits de la forge rĂ©sonnait dans toute la contrĂ©e. La guerre Ă©tait proche et la tension palpable. Tout le monde s’activait en vu du terrible combat qui allait se dĂ©rouler ici se vu bien vite vĂȘtu d’une cĂŽte de maille, d’un haubert et d’un heaume ajustĂ© parfaitement Ă  sa taille. Ce dernier avait Ă©tĂ© mĂȘme conçu de façon Ă  ce que le prince puisse l’enfiler tout en gardant le diadĂšme d’or et de pierreries qui lui cerclait le front depuis petit. Cette tiare avait mĂȘme Ă©tĂ© la cause de bien des souffrances lorsque le jour de ses 7 ans, il Ă©tait tombĂ© et s’était cognĂ© si violement la tĂȘte que le bijou s’était enfoncĂ© profondĂ©ment dans sa chair, laissant au jeune homme une fine cicatrice sur le front qui perdurait encore aujourd’hui. Le prince Ă  l’aide de son Ă©cuyer revĂȘtit entiĂšrement son armure et la trouvant fort inconfortable, se tourna vers LĂ©nonia. Celle-ci lui adressa un sourire et un compliment, mais elle cacha bien vite son visage entre ses mains et se mit Ă  pleurer Ă  chaudes larmes, maudissant l’absurditĂ© de la matin, des cors rĂ©sonnĂšrent dans le royaume. Les armĂ©es ennemies Ă©taient dĂ©sormais sur le territoire. Toute une horde de guerrier avançait vers le chĂąteau, brulant, pillant, fracassant tout sur leur passage. Des guerriers hideux, dĂ©bordant de haine et de rage, dont la noirceur d’ñme transpirait Ă  travers leur lourde et laides armures. BientĂŽt l’armĂ©e du roi et les autres se firent face. Il y eu un temps d’arrĂȘt qui parut infiniment long Ă  chacun. Astar, tout comme les autres chevaliers prĂ©sent Ă  ses cotĂ©s se recommanda aux douze dieux, puis, une boule dans la gorge et l’estomac nouĂ©, il resserra sa poigne sur son Ă©pĂ©e en attendant le dĂ©but de la bataille. Son pĂšre auprĂšs de lui fixait ceux d’en face avec une fĂ©rocitĂ© telle qu’il en effrayait mĂȘme son fils. Il lui fit une derniĂšre recommandation -Astar, au cours de la bataille, ne t’éloignes pas de fois le premier trait d’arc tirĂ©, les deux armĂ©es s’élancĂšrent brutalement l’une contre l’autre, dans un fracas assourdissant d’armures et d’armes s’entrechoquantes, de cris et de hurlements. La poussiĂšre recouvrait dĂ©sormais la grande contrĂ©e et rendit le combat encore plus incertain. Personne ne voyait plus rien et il Ă©tait difficile de diffĂ©rencier alliĂ©s et ennemis. Le tumulte Ă©tait tel que le jeune prince fut bien vite perdu en plein cƓur de la bataille. GĂȘnĂ© par les mottes de terres soulevĂ© par les pattes des dragodinde et aveuglĂ© par la poussiĂšre, l’esprit confus par le bruit, il ne vit pas la lourde masse projetĂ© par un ennemis qui lui assena un si violent coup derriĂšre le crĂąne qu’il l’en dĂ©sarçonna de sa dragodinde et en fendilla son heaume dorĂ©. Le jeune homme tomba Ă  bas de sa monture, roula entre ses pattes et git sur le sol, bataille fut longue et terrible et nombreuses furent les pertes mais ce fut le roi qui l’emporta. Le combat fut si atroce que beaucoup de cadavres avaient Ă©tĂ© piĂ©tinĂ©s, massacrĂ©s, tailladĂ©s. Ils n’étaient pour la plupart pas identifiable, ainsi furent enterrĂ©s des centaines de chevaliers sous une dalle de marbre blanc vierge de tout nom, faute de pouvoir les reconnaitre. Le terrain aprĂšs la bataille ayant Ă©tĂ© parcourus de nombreux pillards, il Ă©tait mĂȘme impossible de les identifier grĂące Ă  leurs armes ou leur bouclier, ceux-ci ayant Ă©tĂ©s volĂ©es par quelques vauriens qui pareillement Ă  de cruels vautours, se prĂ©cipitent sur les cadavres pour les dĂ©pouiller de tout objets prĂ©cieux. Et lorsqu’on souleva du sol un corps horriblement mutilĂ© dont le visage ressemblait Ă  celui du jeune prince, la reine fondit en larme et fut atteinte d’un si profond chagrin qu’elle en mourut quelques jours plus tard. Le roi avait certes gagnĂ© cette bataille, mais il avait perdu bien plus prĂ©cieux que ses terres.[HRP] ET voila, je met la suite demain![/HRP]DerniĂšre Ă©dition par Teyndo le Jeu 4 FĂ©v - 154, Ă©ditĂ© 2 fois CoolmanbisAncien Foodien Nombre de messages 361Age 27Phrase favorite The absence of evidence isn't evidence of MistĂ©rieusePasse temps Musiques et enquetesClasse Vieux shnokClasses Date d'inscription 27/05/2009Sujet Re La Mer d'Asse, son histoire. Mer 3 FĂ©v - 1228 Vive la suite mais sinon c'est le port de madestram et pas "mastredam" sinon c'est tres bine j'aime bien KoksysAncien Foodien Nombre de messages 2240Age 25Phrase favorite À mort !Humeur DĂ©gĂ©nĂ©rantePasse temps Tuer, manger, dormir, tuer, manger, dormir...Classe Sram psycopatheClasses Date d'inscription 22/08/2008Sujet Re La Mer d'Asse, son histoire. Mer 3 FĂ©v - 1255 Excellent RP, j'ai vite Ă©tait profondĂ©mment plongĂ© dans l'histoire IndependenceCuisinier Nombre de messages 599Age 32Phrase favorite Si elle te gratte la main a la St valentin , vivement la St marguerite xHumeur SaintePasse temps Matter les jolies filles du cĂŽtĂ© d' Pandawa sereinClasses Date d'inscription 25/03/2009Sujet Re La Mer d'Asse, son histoire. Mer 3 FĂ©v - 1348 Dark-Gosth a Ă©crit Excellent RP, j'ai vite Ă©tait profondĂ©mment plongĂ© dans l'histoire Pareil , tu arrives a faire accrocher les lecteurs ^^ TeyndoAncien Foodien Nombre de messages 1011Age 32Phrase favorite Je ne suis pas PETIT !Humeur Taquin Classe Eniripsa TerreClasses Date d'inscription 06/01/2010Sujet Re La Mer d'Asse, son histoire. Mer 3 FĂ©v - 1437 [Merci. J'ai corrigĂ© le nom du port. En effet, Ă  l'Ă©poque oĂč je l'avais Ă©crit, j'avais Ă©tĂ© incapable de me rappeler du nom, alors j'avais improvisĂ© en me disant que je vĂ©rifierais plus tard...Chose que je n'ai pas faite. ^^'' Voici donc la suite ]Chapitre IILorsqu’Astar se rĂ©veilla, il Ă©tait allongĂ© Ă  mĂȘme le sol sur une vielle paillasse mitĂ©e. Une douleur abominable lui transperçait le crĂąne. CouchĂ© seul dans la pĂ©nombre il se rendit compte avec effroi que tout ses souvenirs avaient disparus, laissant derriĂšre eux une Ă©paisse brume blanche opaque dont il Ă©tait impossible d’extraire la moindre parcelle de mĂ©moire. Il n’avait plus Ă  l’esprit que cette souffrance qui lui dĂ©chirait la nuque. GĂ©missant de douleurs et tremblant de peur, il essayait vainement de rassembler ses idĂ©es mais jusqu'Ă  mĂȘme son identitĂ©, il ne se souvenait de rien. Tout Ă©tait flou dans sa tĂȘte, ses idĂ©es se mĂ©langeaient et tournoyaient dans une ronde insupportable. Alors, dĂ©contenancĂ© et terrifiĂ©, il se mit Ă  pleurer de terreur, solitaire et alors qu’un pan de la tente sous laquelle il reposait s’entrouvrit et pĂ©nĂ©tra sous les larges tentures un homme malingre, barbu et nausĂ©abond. Un affreux disciple d'Enutrof. Avec lui entra une lumiĂšre vive et insupportable qui perça les paupiĂšres du prince et accentua davantage son mal de crĂąne. Il poussa un petit cri de contentement lorsqu’il vit le jeune garçon Ă©veillĂ© et le souleva sans !! Viens par lĂ  toi !Il le mit debout brutalement et l’entraina dehors. Le garçon Ă©tait sur le point de dĂ©faillir et lorsque l’homme le poussa Ă  l’extĂ©rieur, un horrible tapage lui parvient aux oreilles. Il comprit alors qu’il se trouvait en plein cƓur d’un marchĂ©. HĂ©bĂ©tĂ© par la douleur et complĂštement paniquĂ© par la perte de ses souvenirs, il suivi docilement l’affreux bonhomme qui l’avait bousculĂ© dĂšs son douloureux rĂ©veil et qui l’entrainait Ă  sa suite en le tenant fermement par le remontĂšrent ensemble ce qu’y sembla ĂȘtre une grande place, croisant nombres de gens et de charrettes transportant des marchandises diverses et variĂ©es et des dragodindes chevauchĂ©es par des cavaliers pressĂ©s. L’homme ne tarda pas quelques Ă©tals plus loin Ă  faire monter le jeune garçon sur une estrade sur laquelle se trouvait dĂ©jĂ  d’autres gens. Astar remarqua dĂ©jĂ  leur allure pauvre et affamĂ© avant de constater avec effroi qu’ils Ă©taient tous retenus Ă  un piquet plantĂ© au milieu de l’estrade par une chaĂźne. Le temps qu’il retrouve ses esprits et que son instinct lui intime de fuir, l’homme lui avait dĂ©jĂ  refermĂ© sur le cou un horrible collier de mĂ©tal. Il tira d’abord de toutes ses forces avec ses mains pour essayer de briser la chaĂźne puis tenta d’arracher le collier avant de se prendre un violent coup de fouet juste entre les omoplates. L’homme hurla -Ca suffit maintenant, regarde la foule ! Tourne-toi vers elle qu’elle puisse te voir !Le jeune homme se tourna alors vers les gens et se rendit enfin compte de l’étrange situation dans laquelle il se trouvait. Il faisait tout simplement partie de la marchandise d’un vendeur d’esclave. De nombreuses personnes s’approchait de l’estrade, le regardait lui et les autres sous toutes les coutures, criant et hurlant des prix. HarassĂ© par le chagrin et la panique, le garçon se rĂ©signa et s’assis par terre, en plein soleil avec les autres en pleurant amĂšrement, faisant fi de toute dignitĂ©. Soudain, un disciple CrĂą vĂȘtu de beaux atouts s’approcha du stand et le fixa longuement. AprĂšs un temps, il interpella le vieux barbu -Eh toi vilain ! Combien pour celui-ci ?-Ô mon seigneur, avant de discuter du prix de ce jeune homme, approchez et voyez plutĂŽt ! Il est bien fait, ses muscles sont fermes et sa chevelure ne comporte pas un seul pou ! Voyez comme il est bien bĂąti ! Aussi robuste qu’un Meulou !L’homme s’approcha et toucha les Ă©paules et les mollets du garçon, et lui ouvrit mĂȘme la effet, il a bien belle allure et ses dents sont bien soignĂ©es
.Dit moi, n’as-tu point dĂ©robĂ© ce jeune homme Ă  un noble ?-Oh non Monseigneur ! C’est un pauvre gueux qui me l’a un jour dĂ©posĂ© sur le pas de ma porte. Il l’a abandonnĂ© car il ne pouvait lui prodiguer soin et nourriture. Je l’ai alors recueilli et Ă©levĂ© comme mon propre enfant ! C’est pourquoi il m’est trĂšs difficile de devoir m’en sĂ©parer aujourd’hui
.A misĂšre ! Si les douze me permettaient
- Epargne-moi tes balivernes ! Combien en veux-tu ?-Le fait de savoir que je vais confier ce petit Ă  un seigneur d’aussi grande fortune que vous devrait me suffire amplement comme paiement, mais malheureusement la vie est de plus en plus dure vous savez. Et
-Combien vaurien ?! S’impatienta le bien, seulement 150 000 kamas, juste pour subvenir Ă  mes 000 kamas ?! Es-tu fou ma parole ! Et puis, qu’est-ce que ceci ? Le noble releva une mĂšche de cheveux et passa un doigt sur la cicatrice du garçon. -Oh, une simple petite balafre. Rien de bien altĂ©rable Ă  son visage d'ange !-Il n’empĂȘche que tu t’es bien gardĂ© de me parler de l’existence d’une telle blessure
Je te le laisse. Au revoir !-Non monseigneur non ! Un simple oubli ! Veuillez m’en excuser je vous prie. Pour 130 000 kamas, ce jeune homme est Ă  vous !Le crĂą sembla rĂ©flĂ©chir un instant puis il acquiesça et sorti de sous sa cape une bourse de kamas qu’il lança nĂ©gligemment au le, et prend en soin !Le marchand s’approcha alors du garçon et lui retira son sinistre collier, puis le trainant par le poignet, le confia au noble. Par la suite, tout en s’éloignant le jeune homme entendis le marchand grommeler des gentilhomme se tourna vers lui et lui dit -Alors, quel-est ton nom ?-Je ne sais point seigneur, donnez moi donc celui qui vous plaira puisque je vous appartiens dĂ©sormais
Visiblement. RĂ©pondit –il d’une voix te viens cette marque sur ton front ?-Je ne sais pas, je ne me souviens de rien avant ce jour ci. -Et bien je te nommerais Owen. Cela veut dire marque blanche » en crĂą ancien. Cela te convient-il ? -Comme il vous plaira. Acquiesça le jeune garçon, dĂ©pitĂ© d’appartenir dĂ©sormais Ă  quelqu’un mais en mĂȘme temps infiniment reconnaissant envers cet homme de l’avoir sorti de ce sordide ils quittĂšrent ensemble le sinistre marchĂ©, laissant derriĂšre eux le bruit des trocs et des Ă©changes Ă  la criĂ©e et le disciple CrĂą conduisit Owen dans son domaine. Ce noble seigneur possĂ©dait de bien grandes terre et Ă  lui seul appartenait la plaine des scarafeuilles ainsi que la pĂ©ninsule des gelĂ©es. Il rĂ©sidait sur une presqu’üle un peu Ă  l’écart de ses terres et sa demeure, qui se trouvait sur les plaines dĂ©sormais dĂ©vastĂ©es par l’apparition des dragoeufs, Ă©tait si belle et si vaste que chacun qui s’y rendait ne pouvait aprĂšs trouver confort pareil ailleurs et vivait dĂ©finitivement avec le souvenir de ce si agrĂ©able chĂąteau. Le possesseur de ces terres Ă©tait le seigneur Azhlan. C’était un homme sĂ©vĂšre mais juste. Il pouvait ĂȘtre trĂšs dur et trĂšs exigeant mais il savait rĂ©compenser grandement ceux qui parvenaient Ă  le satisfaire. C’est ainsi qu’aprĂšs l’avoir achetĂ© pour une bien modique somme, il mit Owen Ă  son service. Quelle ne fut pas sa surprise lorsqu’il se rendit compte que le jeune homme savait lire et compter ! Il dĂ©cida alors de dispenser le garçon du travail des terres qu’il lui rĂ©servait et de lui confier plutĂŽt le soin de rĂ©diger ses lettres et de tenir ses comptes. Ainsi, Owen devint le scribe personnel du seigneur Azhlan. Contemplant l’ardeur au travail, la persĂ©vĂ©rance et l’honnĂȘtetĂ© du garçon, il fut pris d’affection et d’estime pour ce dernier et lui offrit au fil du temps de plus en plus de libertĂ©. Il l’apprĂ©ciait tant et si bien que le garçon ne fut pas moins bien traitĂ© que s’il avait Ă©tĂ© son propre fils. Le seigneur avait Ă  cƓur de lui enseigner de nombreuses choses, l’emmenant Ă  la chasse aux sangliers avec lui, le conviant Ă  sa table lors de grands festins et ne cessant de vanter ses mĂ©rites auprĂšs de ses hommes. Il en vient mĂȘme Ă  lui offrir une des plus belles dragodindes de son Ă©curie, celle qu’il rĂ©servait Ă  l’hĂ©ritier qu’il n’avait jamais eu. Ils purent alors chevaucher tout deux durant des heures Ă  travers champs, palabrant de choses et d’autres. Le garçon en venait mĂȘme Ă  oublier l’effroyable vide qui recouvrait une partie de sa mĂ©moire. Il avait bien d’autres choses Ă  allait pour le mieux pour Owen. Il avait dĂ©sormais 19 ans et malgrĂ© son statut d’esclave, il disposait de tous les privilĂšges d’un fils de seigneur. Il avait un visage joliment fait et son adresse au combat n’était plus Ă  prouver. En outre, son courage, sa bravoure et son tempĂ©rament fougueux en avait fait un jeune homme trĂšs apprĂ©ciĂ© dans les environs. Les paysans le saluaient lors de son passage et les seigneurs lui adressaient des sourires complices. On disait de lui qu’il avait un port de tĂȘte princier et que s’il n’avait pas Ă©tĂ© qu’un fils de pauvre bougre, comme l’avait affirmĂ© le marchand d’esclave il aurait pu trĂšs bien occuper une place de noble. Mais un jour, alors qu’avec son seigneur il longeait une longue lande dĂ©serte et abimĂ©e, il s’inquiĂ©ta Ă  voix haute de l’état dĂ©vastĂ© de celle-ci. Azhlan lui rĂ©pondit -Vois-tu Owen, ces paysans ont fait opposition au roi. Et ses hommes se sont vengĂ©s en brulant les champs et ravageant les ?-Ils ont dut refuser de payer la lourde taxe qu’il impose Ă  ses cerfs. Alors les hommes Ă  sa solde leur ont tout prit. ChaumiĂšre, femmes, rĂ©coltes, liberté .C’est le prix Ă  payer lorsqu’on dĂ©sobĂ©i au roi d' jeune homme se mit Ă  frĂ©mir de rage, ses poings resserrent fortement les rennes de sa pourquoi ces gens ne se rĂ©voltent ils pas ? -Ils n’en ont pas le courage ni l’audace Owen. -C’est bien dĂ©plorable
Il suffirait qu’ils se soulĂšvent tous pour renverser ce tyran ! Ils sont si nombreux, ils pourraient facilement faire plier cet ignoble individu !-Ne t’en mĂȘle pas je te prie. Nous ne sommes pas Ă  plaindre. Nous avons tous les soirs le ventre plein et le cƓur gai, en plus des viandes de sangliers et des boissons Ă  notre table. Nous avons les moyens de nous acquitter de la taxe. Ce n’est pas notre sera bientĂŽt la mienne, je le jure sur mon honneur ! -Owen, pour l’amour de CrĂą ! Ne te lance pas dans quelque chose d’ d’inconsidĂ©rĂ© je vous le promets
.Seulement quelque chose de juste!Le seigneur soupira et se tut. Il savait qu’il Ă©tait inutile d’insister, le garçon Ă©tait aussi courageux que tĂȘtu. Ils rentrĂšrent sans bruit, Owen ne cessant de retourner dans son esprit les horreurs qu’ils venaient d’apercevoir et le gentilhomme priant en silence les douze pour qu’il oublie vite son idĂ©e de vengeance. Malheureusement pour lui, le jeune homme Ă©tait bien dĂ©cidĂ© Ă  faire payer ses atrocitĂ©s au roi. Le soir mĂȘme, attablĂ© autour d’un copieux repas, Owen lui parla de ses plans pour les prochains jours. Il comptait rassembler les paysans sous le mĂȘme drapeau et lancer par la suite une attaque contre le chĂąteau. Le seigneur se leva soudainement -Il est hors de question que je te laisse te complaire dans de telles chimĂšres ! Tu ne changeras rien au cours des choses ! Dois-je ĂȘtre obligĂ© de te faire mettre aux fers pour t’empĂȘcher de te nuire ? -M’emprisonner ?! Que bien vous en fasse mais sachez que je m’évaderais autant de fois qu’il le faudra tant que justice ne sera pas rendu ! RĂ©pondit le jeune homme en se levant Ă©galement. Ses yeux se plantĂšrent dans ceux du seigneur et il put y lire toute la dĂ©termination du monde. Connaissant le caractĂšre de fer du garçon, Il ne se senti pas le courage de lutter contre une telle volontĂ© et fatiguĂ©, il se rassit en c’est une bien mauvaise façon de remercier la personne qui t’a accueilli en son foyer comme son propre fils et t’a offert tout ce qui a fait de toi un homme aujourd’hui
-Je le sais monseigneur, je vous dois Ă©normĂ©ment si ce n’est tout. Et c’est pourquoi je ne me sentirais digne de vous qu’une fois ce tyran renversĂ©. Je ne peux vivre encore sous votre toit tout en sachant que vous ĂȘtes soumis Ă  un vaurien sans que je ne puisse rĂ©agir. Laissez moi aller avec votre bĂ©nĂ©diction je vous prie, elle me portera chance. Et je vous en supplie, libĂ©rez moi de mon statut d’esclave qui me rattache Ă  vous
-Ce n’est pas ma bĂ©nĂ©diction qu’il te faudra mais bien celle des Douze ! Et bien cours Ă  ta perte ! Mais ne me demande pas de te donner mon accord, c’est au dessus de mes forces de cautionner la folie d’un homme
D’autant plus lorsque je considĂšre cet homme comme mon propre enfant. Et pour ce qui est de ton statut, il y a bien longtemps que je ne te considĂšre plus comme mon esclave. Tu es libre mon ami, bien que cela m’attriste terriblement que la libertĂ© que je t’accorde te conduise Ă  la mort
-Je vous remercie monseigneur
Pour tout ! Et bien, qu’il plaise aux Dieux et advienne que pourra! Sur ce, le garçon se leva de table et s’éloigna en direction de la porte sous le regard impuissant du seigneur Azhlan. Lorsqu’il fut sur le pas de la grande porte, il se retourna vers lui et lui lança -Dans dix jours si le tyran est encore sur le trĂŽne, vous pourrez me considĂ©rer comme le plus idiot des orgueilleux. Sinon, je vous remercie du fond du cƓur pour votre immense gĂ©nĂ©rositĂ©. Je ne pense jamais avoir rencontrĂ© d’homme plus droit et plus bon que vous. Que les douze vous protĂšgent vous et vos hommes ! Puis il se retourna et disparut derriĂšre l’embrassure de la porte, engloutis par l’obscuritĂ© froide de la nuit. Il laissait derriĂšre lui un seigneur au cƓur blessĂ© et un chĂąteau dans lequel plus jamais ses rires joyeux ne retentiront entre ses murs.[HRP] La suite demain de nouveau.[/HRP] TeyndoAncien Foodien Nombre de messages 1011Age 32Phrase favorite Je ne suis pas PETIT !Humeur Taquin Classe Eniripsa TerreClasses Date d'inscription 06/01/2010Sujet Re La Mer d'Asse, son histoire. Jeu 4 FĂ©v - 1758 [HRP]TroisiĂšme et avant dernier chapitre. Comme pour les autres, n'hĂ©sitez pas Ă  me signaler les fautes ou les incohĂ©rences.[/HRP]Chapitre IIIPendant ce temps lĂ  Ă  la taverne de la Bagrutte, l’agitation Ă©tait Ă  son comble. Et pour cause Dans l’atmosphĂšre enfumĂ© de ce lieu Ă©tait en train de se dĂ©rouler une incroyable partie de poker. La plupart des joueurs s’étaient dĂ©jĂ  couchĂ©s en voyant les sommes atteindre des sommets et il n’en restait que deux en compĂ©tition. Un Ă©caflip au pelage gris soyeux, le regard fier et les oreilles dressĂ©es de contentement et un vieil enutrof sale et barbus transpirant Ă  grosse gouttes. Devant le disciple d’écaflip se trouvaient de nombreuses piles de piĂšces et entre ses doigts fins il ne cessait de faire tournoyer nonchalamment un kama dorĂ©. Le sourire narquois adressĂ© Ă  son adversaire dĂ©couvrit ses longues canines pointues et il dit sur un ton amusĂ© -Bien, tu n’as plus rien Ă  miser. On dirait que j’ai gagnĂ©.....Encore !Le vieil homme baissa les yeux et se mis Ă  marmonner des paroles incomprĂ©hensible en fronçant les sourcils. Il regarda dĂ©pitĂ© et sans mot dire l’Ecaflip empocher les mises dans un grand sac en peau de puisque personne ne veut surenchĂ©rir, je m’en vais ! J’espĂšre que dame chance sera plus clĂ©mente envers vous la prochaine il se leva et se dirigea vers la sortie. La foule qui s’était amassĂ©e au cours de la partie s’écarta pour le laisser passer, quand soudain le vieil homme appela -Attend ! J’ai.. j’ai bien encore quelque chose !IntriguĂ©, l’Ecaflip revient sur ses pas et le vieil homme bien dĂ©cidĂ© Ă  ne pas laisser repartir le fĂ©lin avec sa fortune sorti de sous sa cape un morceau de prĂ©cieuse Ă©toffe rouge. Puis, lentement et prĂ©cautionneusement, il sorti du tissus un magnifique bijou ! Je rajoute aux mises ceci ! A la vu du fin bijou merveilleusement travaillĂ© et sertis de multiples pierreries, le visage de l’écaflip s’empourpra. Le marchand ajouta sur un ton connaisseur -Magnifique ouvrage n’est-ce pas ? Le fĂ©lin le retourna prĂ©cautionneusement entre ses griffes en tremblant d’émotion et demanda -OĂč as-tu trouvĂ© ceci ?
.-Au pied d’un tertre, un aventurier a du l’égarer. Et comme il n’y avait personne aux environs, je l’ai donc pris, tel est mon bon ces mots, l’écaflip bondit sur la table et renversant les chopes et les cartes qui s’y trouvait, dĂ©gaina furieusement son Ă©pĂ©e et en pointa la lame sur la gorge du vieil MENSONGES ! Ou as-tu trouvĂ© ça ? RĂ©pond moi sur le champ et si tu t’avises une fois de plus de me mentir je jure que ta tĂȘte roulera sur le sol l’instant d’aprĂšs !!L’écaflip avait hurlĂ© ces mots. La foule avait reculĂ© de peur et les femmes et les enfants s’étaient enfuis. Certains avait dĂ©gainĂ© eux aussi leur Ă©pĂ©es, prĂȘt Ă  se dĂ©fendre mais devant la fureur que tĂ©moignait le fĂ©lin, personne n’osa rĂ©agir et personne ne songeait mĂȘme Ă  le dĂ©sarmer. Ils le regardaient tous, impuissants, menacer le vieil homme sale. La lame sous la gorge, le vieux marchand se mis Ă  bĂ©gayer, sa voix se transformant petit Ă  petit en chuchotement appartenait Ă  un jeune homme, un garçon que j’avais capturĂ© sur un champ de bataille
-Ou est-il ?! OĂč est le garçon ?! Hurla encore l’écaflip, enfonçant quelque peu le fil de sa lame dans la gorge du vieil homme jusqu'Ă  en faire perler une goutte de ne sais pas, je ne sais pas ! Je l’ai vendu au seigneur des terres du sud, Ă  Azlhan le CrĂą. Je ne sais rien de plus ! Je vous le jure !A la suite de ces paroles, l’écaflip rangea son Ă©pĂ©e au fourreau et bousculant les curieux, couru hors de la taverne, abandonnant derriĂšre lui ses cartes et sa nouvelle fortune. Il gagna l’étable et enfourchant sa dragodinde, la lança au triple galop Ă  travers les champs, serrant de toute ses forces dans sa main droite le bijou d’ cƓur battait la chamade et ses pensĂ©es tourbillonnaient dans son esprit. Ce diadĂšme
Comment n’aurait-il pas pu le reconnaitre ? Il avait Ă©tĂ© le maĂźtre d’arme du jeune prince Astar pendant sept annĂ©es entiĂšres. Se pourrait-il que 
 ? Il ne pouvait pas laisser le doute subsister et ne pourrait reposer qu’une fois qu’il en serait certain. Les obsĂšques du prince avait Ă©tĂ© cĂ©lĂ©brĂ©es il y a bien longtemps
Pourtant ....Et c’est tourmentĂ© par ces Ă©tranges pensĂ©es qu’il mit le cap sur la presqu’ile du seigneur Owen avait dĂ©jĂ  en moins de trois jours, Ă  l’aide de sa fougueuse monture parcourut la moitiĂ© des terres du roi. Partout oĂč il voyait que la misĂšre et le malheur s’était abattu, il s’arrĂȘtait et tentait de rallier les paysans et les cerfs Ă  sa cause Se venger de l’homme qui Ă©tait responsable de leur malheur et l’empĂȘcher dĂ©finitivement de commettre de nouveaux crimes. Et ce fut un vĂ©ritable succĂšs. Owen savait si bien manier les mots que bientĂŽt la quasi-totalitĂ© des habitants d’amakna lui jurĂšrent de le suivre lors de l’attaque du chĂąteau. Car tel Ă©tait le plan du jeune homme Assaillir la forteresse afin d’exiger rĂ©paration auprĂšs de Karam en personne. Ils Ă©taient assez nombreux pour cela et aprĂšs les discours d’Owen, bien assez fit armer tout les hommes du mieux qu’ils pouvaient, leur donnant partout oĂč il passait courage et motivation. Grace Ă  son savoir et Ă  sa volontĂ©, il Ă©tait parvenu Ă  faire rĂ©agir presque tous les paysans sur leur abominable condition. Il Ă©tait si charismatique que ces gens dirent mĂȘme de lui qu’il Ă©tait nĂ© pour ĂȘtre meneur d’hommes et que personne d’autre que lui n’aurait pu les unir sous la mĂȘme banniĂšre en si peu de temps et en si bon ordre. Les forgerons dĂ©cidĂšrent de lui confectionner une armure solide et le heaume Ă©tait mĂȘme encore tiĂšde des feux de la forge lorsqu’il l’essaya. Ainsi Ă©quipĂ©s, ils mirent leur plan Ă  sixiĂšme jour, durant la nuit, plus d’un millier d’hommes et de femmes assiĂ©gĂšrent le chĂąteau du roi. A l’aide d’habiles chasseurs et de fervents disciples de Cra, les sentinelles furent toutes rĂ©duites au silence. Quelle ne fut pas la surprise de Karam lorsqu’au matin, ses servants lui annoncĂšrent que toute sortie Ă©tait effet, les troupes d’Owen s’étaient rassemblĂ©es lĂ , bloquant toutes les issues du chĂąteau, retranchant les hommes du roi dans leurs quartiers. Il Ă©tait dĂ©sormais impossible d’entrer dans le chĂąteau comme d’en sortir. Le chĂąteau Ă©tant bordĂ© par la mer, il Ă©tait d’autant plus facile pour peu d’homme d’en faire le siĂšge et plus dur encore pour les habitants d’en sortir. Furieux, le roi se fit apporter sa plus belle parure et se prĂ©senta du haut de ses murailles aux hommes qui siĂ©geait est votre chef ? hurla-t-il d’une voix terrible qui fit trembler les plus faibles. Qui est l’investigateur de cette action ?-C’est moi ! RĂ©pondit Owen, couvrant les rumeurs de la foule qui s’était amoncelĂ©e au pied des murailles pour Ă©couter la colĂšre du roi et s’écartant des gens pour se prĂ©senter devant Ă©tait montĂ© sur sa superbe dinde, laquelle on avait Ă©quipĂ© de beaux harnachements. Ses habits et son armure n’étaient pas de trĂšs grande facture mais sa prestance confĂ©rait Ă  sa tenue la grandeur qui lui manquait. Il leva la tĂȘte, dĂ©fiant le roi du regard et lui adressa un bref salut, avec toute l’insolence de sa beautĂ© dĂ©sinvolte. Le roi d’abord dĂ©contenancĂ© par la vue de cet inconnu, se repris et lui demanda d’une voix forte ce qu’il dĂ©sirait tout en maudissant l’effronterie du jeune suis lĂ  pour faire justice, roi ! Vois ces hommes qui se dressent devant toi, les mĂȘmes que tu as maltraitĂ©s durant des annĂ©es ! Maintenant ils rĂ©clament rĂ©paration ! Descend de tes murailles et viens te battre en duel ! Il n'y aura alors aucun mort mis Ă  part toi si tu n'est pas de taille. Ton peuple rĂ©clame justice !La foule derriĂšre le garçon vocifĂ©ra alors des chansons de guerre, des appels au combat, prouvant alors avec vĂ©hĂ©mence les dires du jeune homme, scandant parfois en chƓur son prĂ©nom. Le roi blessĂ© dans son amour propre par la prise de son chĂąteau par un inconnu, et surtout trĂšs orgueilleux, dĂ©cida d’accepter le duel et le fit signaler aux hommes au pied des murailles. La nouvelle fut accueillie avec grande joie par les cerfs en colĂšre et Owen se fit fĂ©liciter de toute part. Lorsque le conseiller du roi tenta de l’en empĂȘcher, Karam le regarda gravement dans les yeux et lui dit -Si je ne puis remporter ce duel, c’est que je ne suis plus digne d’ĂȘtre roi. Un roi se doit d’ĂȘtre fort. Il est la puissance et le courage. Je prĂ©fĂšre mourir bravement en dĂ©fendant mon honneur sous la lame d’un inconnu que de pĂ©rir terrĂ© comme un rat dans son trou. » Le conseiller ne sut que rĂ©pondre et ordonna de faire prĂ©parer les armes du roi. Le duel aurait lieu le lendemain, 3 heures aprĂšs le levĂ© du jour. Tel en avait Ă©tĂ© lendemain, la tension au alentour du chĂąteau Ă©tait palpable dĂšs les premiers rayons du soleil. Les cerfs avaient amĂ©nagĂ©s la piste sur laquelle devrait se dĂ©rouler l’affrontement et chacun craignait pour l’issue du combat. Les assiĂ©geants avait passĂ© la matinĂ©e Ă  encourager leur champion et sa dragodinde et Ă  s’assurer qu’ils ne manquaient de rien. Owen, las de protester et de refuser systĂ©matiquement avait fini par se laisser faire par ses hommes qui le menaient d’abris en abris afin de lui offrir Ă  manger, Ă  boire ou quelques porte-bonheurs divers et variĂ©s. Il ne comptait plus non plus le nombre de braves forgerons qui s’étaient proposĂ©s pour aiguiser son Ă©pĂ©e ou faire reluire son armure. Il craignait pour sa vie, Karam Ă©tant Ă  ce qu’on lui avait dit un excellent combattant mais tout les regards bercĂ©s d’espoir qu’on posait sur lui lui redonnait force et courage. Ils auraient pu dĂ©cider de tuer dĂ©loyalement le roi dĂšs qu’il sortirait du chĂąteau pour faire face Ă  lui mais non, ils avaient prĂ©fĂ©rĂ©s placĂ©s toute leur foi en lui, prĂ©fĂ©rant un duel Ă  mort honnĂȘte qu’une tromperie dĂ©loyale. Il en ressentait une immense Ă©motion et au fur et Ă  mesure que le jour se levait, il se sentait plus grand et plus roi quand Ă  lui, s’apprĂȘtait Ă©galement Ă  mener le combat avec les gens de sa cour. Il fut fort bien Ă©quipĂ© et armĂ©. Les demoiselles pleuraient en l’enlaçant entre leur bras fragiles et les hommes avaient le regard terne. Ils n’avaient jamais manquĂ©s de rien eux Ă  la cour et leur roi leur paraissait fort honnĂȘte et gĂ©nĂ©reux. Et voila que des manants venaient troubler leur tranquillitĂ© et mettre fin Ă  leur vie de panache. Chacun avait le visage morne et tous sentaient que quelque chose d’affreux allait se dĂ©rouler Ă  l’issue de ce duel.[Voila, voila, suite et fin demain!]DerniĂšre Ă©dition par Teyndo le Sam 20 Mar - 1941, Ă©ditĂ© 1 fois IndependenceCuisinier Nombre de messages 599Age 32Phrase favorite Si elle te gratte la main a la St valentin , vivement la St marguerite xHumeur SaintePasse temps Matter les jolies filles du cĂŽtĂ© d' Pandawa sereinClasses Date d'inscription 25/03/2009Sujet Re La Mer d'Asse, son histoire. Jeu 4 FĂ©v - 2009 J'adore trop le pasage entre l'ecaflip et l'enutrof a la Taverne , c'est trop intriguant ! Vivement la suite ! TeyndoAncien Foodien Nombre de messages 1011Age 32Phrase favorite Je ne suis pas PETIT !Humeur Taquin Classe Eniripsa TerreClasses Date d'inscription 06/01/2010Sujet Re La Mer d'Asse, son histoire. Ven 5 FĂ©v - 2128 [HRP]Et voici le dernier chapitre[/HRP]CHAPITRE IVA l’heure convenue, les assiĂ©geants laissĂšrent le roi et quelques hommes sortir du chĂąteau sous bonne garde. Les deux ennemis se prĂ©sentĂšrent face Ă  face, les fils de leurs lames et l'acier de leurs armures brillants sous le soleil encore blafard. Les spectateurs se placĂšrent autour de l’arĂšne de fortune en silence, les nobles eux assistait Ă  l'affrontement depuis les remparts, les yeux rivĂ©s sur les combattants, les jaugeant, les Ă©valuant, les soupesant l’un et l’autre. Ils se saluĂšrent briĂšvement. Ils avaient chacun sous leur heaume les mĂąchoires serrĂ©s, et sous leur cĂŽte de maille, leurs cƓurs battaient Ă  tout rompre. Leurs dragodindes piaffaient nerveusement tandis que chacun, les muscles bandĂ©s, attendaient froidement le signal qui dĂ©buterait la mise Ă  mort. Le signal fut donnĂ©, les deux cavaliers s’élancĂšrent l’un contre l’autre et se percutĂšrent dans un grand fracas de mĂ©tal. Au premier assaut, malgrĂ© la violence de la rencontre, les deux adversaires Ă©taient encore sur leurs montures. Chacun compris alors qu’il avait en face de lui un combattant d’une grande valeur. Alors, ils ne tardĂšrent pas Ă  donner le second assaut. Celui-ci fut plus fructueux pour Karam le roi, puisque Owen fut dĂ©sĂ©quilibrĂ© et tomba Ă  terre. La foule hurla. Owen se releva aussitĂŽt, quelque peu chancelant Ă  cause du choc mais ne laissant pas ainsi l’occasion au roi de l’attaquer au sol par surprise. Le roi descendit de sa monture Ă©galement et sans plus attendre le combat put continuer dans une violence incroyable. Les lames s’entrechoquaient dans un fracas Ă©pouvantable, les cris de rage que poussaient les deux combattants Ă©taient tels que l’on aurait cru deux fauves en train de s’entretuer. La poussiĂšre qu’ils soulevaient rendait le combat moins Ă©vident encore. Les coups pleuvaient et l’un et l’autre rivalisaient de parade. Pas une seconde de rĂ©pits n’étaient offerte aux deux adversaires, chacun sachant que le moindre relĂąchement leur vaudrait la mort. Owen commençait Ă  ressentir une douleur sourde dans les Ă©paules Ă  chaque nouveau coup et le souffle lui manquer. Il tenta d’oublier cette souffrance et redoubla d’effort pour mettre Ă  terre Karam Ă  l’aide de coups brutaux et prĂ©cis, mais celui-ci bien initiĂ© Ă  l’art du combat semblait ne jamais devoir ployer sous ses assauts. Comprenant qu’a ce rythme il ne tiendrait pas longtemps, le jeune homme ralentis la cadence de ses coups et se concentra surtout sur ses jambes. Il jugea prĂ©fĂ©rable d’essayer d’esquiver les coups que de les parer et de devoir dĂ©ployer une force phĂ©nomĂ©nale pour les repousser et utilisant la souplesse que lui offrait sa jeunesse par rapport au roi, il rĂ©ussit finalement Ă  fatiguer ce dernier au bout de quelques Ă©changes. Les deux adversaires, presque Ă  bout de force, se sĂ©parĂšrent un instant afin de reprendre leurs souffles et leurs esprits. La foule hurlait dĂ©sormais, les pressant Ă  mettre rapidement un terme Ă  ce douleur irradiait dĂ©sormais dans tout le corps d’Owen et sa tĂȘte bourdonnait furieusement. Il regarda un bref instant la foule amassĂ© autour de lui. Et s’il dĂ©cevait ces gens ? S’il se faisait abattre lĂ , devant eux ? Terrasser en mĂȘme temps que tous leurs espoirs ? Tuer ou ĂȘtre tuer, quel pire choix pourrait on avoir ? Puis il se ressaisit. Ne pas rĂ©flĂ©chir, pas dans un tel moment. Devenir juste une bĂȘte, une crĂ©ature de guerre ignorant la peur et la souffrance. Son corps ne tiendrais plus trĂšs longtemps, et en regardant briĂšvement le roi qui lui faisait face, il comprit que lui non plus. Le roi avait peut ĂȘtre l’expĂ©rience, mais Owen avait la jeunesse et l’endurance, et c’était maintenant qu’il devait en profiter. Alors, dans une ultime sollicitation de tous ses muscles, il fondit sur le roi et lui assĂ©na une sĂ©rie de coups incroyablement brutaux. Le roi dut puiser dans ses derniĂšres forces pour lui faire face. Des Ă©tincelles jaillissaient aux contacts des lames dans d’effroyables crissements de mĂ©taux. Owen poussa un cri terrible et mis d’avantage de violences encore dans la maniement de sa lame. Soudain, le roi ploya sous l’assaut et mis un genou Ă  terre, dĂ©sĂ©quilibrant ainsi un instant sa garde. L’épĂ©e du jeune homme trouva alors une prise sous le heaume du roi, juste au dessus de son Ă©paule droite, et l’instant d’aprĂšs, la tĂȘte de Karam roulait sur le sol parmi la poussiĂšre. La foule explosa dans une grande clameur de joie. Owen mis quelques secondes Ă  rĂ©aliser ce qu’il venait d’accomplir avant de tomber Ă  son tour Ă  genoux auprĂšs du corps sans vie du roi. Peu aprĂšs, il se faisait enlacer, congratuler et remercier de toutes parts. Les gens se pressaient autour de lui afin de le fĂ©liciter, ils le portĂšrent en triomphe et lui retirĂšrent son heaume pour l’embrasser. Il Ă©tait tellement fatiguĂ© et affaiblis qu’il parvenait Ă  peine Ă  saisir ce qu’il se passait, il partageait juste cette joie immense que dĂ©gageait la foule par leurs Ă©treintes chaleureuses et leur chants victorieux. Il Ă©tait seigneur dĂ©sormais
Il avait tuĂ© le roi, il prenait sa place. Le tyran Ă©tait vaincu, les villageois vengĂ©s, il avait rĂ©ussi. Il sourit, se laissant bercer par la chaleur bienveillante de cette foule en liesse. Soudain, une dragodinde fit irruption au milieu de tous ces braves gens. Ils s’écartĂšrent afin de la laisser passer, surpris par l’air terrifiĂ© de l’Ecaflip qui la montait. N’était-il pas encore au courant qu’ils avaient gagnĂ© ? Les serfs commencĂšrent Ă  vouloir le faire descendre de sa monture, l’engageant Ă  les rejoindre pour faire la fĂȘte, mais lorsqu’ils virent le regard horrifiĂ© qu’il porti sur le corps du roi et sur Owen, certains se turent immĂ©diatement, comprenant que quelque chose n’allait pas. Le fĂ©lin dĂ©visagea longtemps le prince, sans bouger et une profonde tristesse s’empara de ses traits. Il serra les dents, et une larme roula sur sa joue. L’écaflip descendit alors de sa dragodinde et s’approcha doucement de leur hĂ©ros. Les gens s’écartĂšrent, libĂ©rant le passage devant le visage pĂąle et l’air grave du nouveau venu. Owen le considĂ©ra sans comprendre. L’écaflip sorti un petit paquet de velours rouge d’une sacoche accrochĂ©e Ă  sa ceinture et l’ouvrit dĂ©licatement en tremblant d’émotion, dĂ©voilant ainsi un magnifique diadĂšme dorĂ©. Il le prit avec prĂ©caution et le posa sur la tĂȘte du jeune homme. Le jeune homme leva les yeux pour essayer d’apercevoir le diadĂšme. La foule intriguĂ©e s’était tue. Owen souleva une mĂšche de cheveux et passa l’index sur le contour du bijou pour en discerner les motifs, frĂŽlant en mĂȘme temps du bout du doigt sa cicatrice et le bord pointu de la tiare. Il n’ eu que le temps de se dire qu’il Ă©tait Ă©trange que sa cicatrice et ce bijou est la mĂȘme forme avant que les souvenirs ne fondent sur lui comme autant de poignards tranchants qui se figĂšrent net dans son cƓur. Il arrĂȘta son geste, la main sur le front, les yeux Ă©carquillĂ©s d’horreur, le visage livide et les lĂšvres foule assistait Ă  la scĂšne sans comprendre le drame qui venait de se dĂ©rouler devant eux. Deux personnes du chĂąteau s’avancĂšrent et vinrent briser le silence en proposant au nouveau roi les bijoux et les vĂȘtements qui convenaient Ă  son nouveau rang. Le roi les regarda sans mĂȘme les voir, ne fit pas mĂȘme signe de vouloir les prendre. Il ne dit rien, ne salua pas la foule qui attendait de lui un discours ou un geste et d’un pas lent et qui avait quelque chose de terriblement mĂ©canique, s’éloigna sans mĂȘme un regard pour ce qui se passait autour de lui. Le soir mĂȘme, on le vit arpenter toutes les piĂšces du chĂąteau tel un revenant, ouvrant ça et lĂ  les portes et explorant les chambres et les piĂšces d’un air sombre, silencieux et le regard vide. Devant son extrĂȘme froideur, personne ne songea Ă  interrompre son Ă©trange visite pour le faire assister au banquet que l’on donnait en son honneur et les nobles qui devaient lui prĂȘter allĂ©geance le soir mĂȘme durent se rĂ©soudre Ă  le faire le lendemain. Durant une bonne partie de la nuit, on entendit encore des pas, aller et repartir dans le chĂąteau comme une Ăąme errante. Mais au petit matin, personne ne fut en mesure de mettre la main sur Owen. C’est aprĂšs deux jours de recherches intensives que l’on retrouva sur la plage de la mer dĂ©montĂ©e qui bordait le chĂąteau une pile de vĂȘtements bien pliĂ©s, une Ă©pĂ©e et un diadĂšme dorĂ© soigneusement dĂ©posĂ©s sur un rocher prĂšs de l’eau avec un mot laissĂ© lĂ  par-dessus Je pars rejoindre mon pĂšre et ma mĂšre, merci et pardon. Prince Astar »Alors tous comprirent enfin ce que le jeune homme avait rĂ©alisĂ© la veille. Il avait tuĂ© son propre pĂšre sans le savoir. Owen n’était autre que ce prince que l’on croyait mort au combat depuis des annĂ©es
Le peuple fut tellement attristĂ© par la disparition du prince et tellement touchĂ© par l’histoire tragique de celui-ci qu’il dĂ©cida de donner son nom Ă  la mer qui l’avait engloutie. La mer d’Astar. Afin que les gĂ©nĂ©rations futures se souviennent Ă  jamais de la dĂ©termination de cet homme qui a rĂ©ussi Ă  lui seul Ă  soulever une armĂ©e pour renverser le tyran qui gouvernait amakna, mais aussi de la terrible ironie du sort qui Ă  fait qu’en mĂȘme temps qu’il dĂ©barrassait le monde des douze d’un roi corrompu, il commettait un parricide. Malheureusement, comme les gĂ©nĂ©rations futurs sont toujours plus occupĂ©es Ă  prodiguer le moins d’effort possible, la Mer d’astar est devenu au fur et Ă  mesure du temps la mer d’asse, les gens ne se donnant plus la peine de prononcer son nom en entier. Et en mĂȘme temps que son prĂ©nom, au fur et Ă  mesure du temps, s’est effacĂ© des livres relatant du passĂ© l’histoire tragique de ce prince. »Je rouvris les yeux que j’avais fermĂ©s au cours de mon rĂ©cit et un silence poignant accueillit la fin de cette histoire. Cela ne prĂ©sageait rien de bon. Je ne dus attendre qu’un court instant avant de connaitre la premiĂšre rĂ©action du public, un grand Ă©clat de rire me parvient alors du fond de la salle. Puis, se fut bientĂŽt la salle toute entiĂšre qui riait aux Ă©clats sous mon regard consternĂ©. Personne ne m’avait prise au sĂ©rieux. DĂ©pitĂ©, je fis signe Ă  Teyndo de me suivre au dehors et nous sortĂźmes tous deux sous les quolibets de la foule. Une fois dehors, je soupirais profondĂ©ment. -Tout cela ne sert Ă  rien, ils sont trop bornĂ©s ! Ils ne comprennent rien ! Ne veulent pas entendre raison! Criais-je-Il faut avouer que c’est un peu farfelus comme histoire
Me rĂ©pondit Teyndo avec un sourire. [i ]Tout le monde crois en la dynastie de Allister et toi tu te prĂ©sentes Ă  eux et leur chante un tout autre refrain. [/i]-Mais c’est aprĂšs la disparition du prince que furent nommĂ© au pouvoir ceux qui allait mettre bien plus tard sur le trĂŽne Allister ! C’est pour cela que nous sommes gouvernĂ©s dĂ©sormais par un bon roi ! Grace Ă  lui ! J’abandonne, jamais ils ne sauront admettre la vĂ©ritĂ©. Pour eux, Allister est le premier roi d’Amakna, comme si il n’y avait jamais eu personne d’autre auparavant
Teyndo soupira alors Ă  son tour devant mon air agacĂ©, dĂ©cidant qu’il Ă©tait inutile d’insister. Puis, tout bas, il m’ Tu sais
C’est une histoire que l’on t’a raconté Elle n’est peut ĂȘtre pas vraie.. -Je le sais.
 Mais je continuerais tout de mĂȘme Ă  la dicter Ă  ceux qui m’en feront la demande, parce que je l'aime je me ressaisi, apaisant ma colĂšre et ajouta - AprĂšs tout, le but d’une histoire n’est pas d’ĂȘtre vraie, mais de faire sourire et rĂȘver, non ?Teyndo acquiesça d'un signe de tĂȘte et tous deux, nous nous remĂźmes en route vers Brakmar afin de passer le reste de la nuit au chaud, bien tranquillement chez la fin, j'espĂšre que ça vous avez aimĂ© cette histoire et pris autant de plaisir Ă  la lire que j'ai eu Ă  l'Ă©crire. ' [/HRP] Contenu sponsorisĂ©Sujet Re La Mer d'Asse, son histoire. La Mer d'Asse, son histoire. Page 1 sur 1 Sujets similaires» L'histoire du jeune Fec-Iv» l'histoire d'un cra aguerir» Les fausses histoire vrai» L'histoire de Cuupide-Hon» L'histoire de YopleterriblePermission de ce forumVous ne pouvez pas rĂ©pondre aux sujets dans ce forumFamakna Food Rez-de-ChaussĂ©e du Bistrot RĂ©cits et aventures [RP] Les Ă©tagĂšres de la BibliothĂšque RĂ©cits d'AventuriersSauter vers Éducateur spĂ©cialisĂ© / Éducatrice spĂ©cialisĂ©eEmploi -, 974, La RĂ©union, La RĂ©union- Assurer l'accompagnement dans la gestion des comportements sociaux Alimentation, HygiĂšne, ConvivialitĂ©, Argent, Vestimentaire, Transport, SantĂ©, - Assurer l'accompagnement dans la construction et le dĂ©roulement du projet personnalisĂ© Construction, Evaluation, Relations avec les intervenants internes et externes, relations avec les familles, - Assurer protection et la sĂ©curitĂ© des jeunes Surveillance et PrĂ©vention des situations Ă  risque, Signalement et Information, - Organiser, animer, entretenir le cadre de vie Recherche de la participation Ă  la qualitĂ© du lieu d'accueil, Mise en place d'activitĂ©s Ă©ducatives, ludiques et sportives, Fonctionnement des rĂšgles de vie, - Tenir rĂ©guliĂšrement les documents administratifs Cahier de liaison, Cahier de RĂ©union, Cahier des effectifs, Carnet de bord des vĂ©hicules, - Produire des Ă©crits professionnels Projets, Rapports, Notes d'incidents, Notes de situation..., - Participer aux rĂ©unions internes Projets, Bilans, Fonctionnement, Analyse des pratiques..., - Participer Ă  des rĂ©unions externes Bilans, SynthĂšses... et aux audiences - Animer les week-ends et vacances, -35% Le deal Ă  ne pas rater KRUPS Essential – Machine Ă  cafĂ© automatique avec broyeur Ă  ... 299 € 459 € Voir le deal Forum Les CitĂ©s MĂ©diĂ©vales Le Domaine Royal La CitĂ© de Paris 4 participantsAuteurMessageThierryMessages 255Date d'inscription 08/03/2008Sujet L'Auberge "Au bon accueil" Dim 7 Sep - 1107 Thierry quitta l'hostel de ville et se dirigea d'un pas ferme vers le quartier St quelques pas de la il avait remarquĂ© quelques jours plus tot, un batiment dĂ©labrĂ© et passa la place de Greve, et tourna a beau milieu de la rue, un batiment en bien mauvais Ă©tat se dressait, il donna un coup de pied dans ce qu'il restait de la porte et il y avait du travail pour transformer cette chose en auberge accueillante, mais il trouverait bien de bonnes ames pour l'aider a rĂ©aliser son murs semblaient sains et les poutres du toit pas trop vermoulues. La piĂšce Ă©tait vaste, le parquet craquait sous ses pas, il regarda l'escalier menant a l'Ă©tage, mais ne prit pas le risque d'y il y a pas mal de travail a faire quand meme, mais cette batisse fera l'affaire j'en suis sorti sur le pas de la porte et chercha un endroit pour s'asseoir et regarder les plans qu'il avait Ă©tait venu lui porter puis avait disparu, il fallait trouver un homme sur a qui confier la tache de surveiller l'avancement des travaux, il se nota d'en parler a son ne comprend strictement rien a ces plans, et cet architecte qui est parti Ă©tudier en Italie, je fais comment moi?Thierry s'apercut qu'il parlait a voix haute et leva la tete, les passants le regardait d'un drole d' sourit, pas Ă©tonnant qu'ils me regardent tel un ahuri, si je me met a parler tout seul il doivent penser que leur Comte est devenu se leva et s'Ă©pousseta, rangea ses plans, il reprit sa route vers son bureau pour rĂ©gler les derniers problĂšmes liĂ©s a cette ElĂ©onore de ValoisMessages 191Date d'inscription 13/04/2008Sujet Re L'Auberge "Au bon accueil" Ven 26 Sep - 2337 l'homme descendit de son cheval et aida la personne qui l'accompagnait Ă  faire de mĂȘme. Puis se dirigeant vers la bĂątiment il examina la bĂątisse minutieusement . Il tapa dans quelques poutres , examina les murs extĂ©rieurs , puis Ă  l invitation de la Comtesse de Valois entra dans la demeure . MĂȘme examen minutieux ... petite moue devant le parquet de l'Ă©tage " Heureusement Comtesse la bĂątisse est saine .. mais il va falloir refaire tout le parquet de l'Ă©tage .. sinon les clients risquent de repartir entre quatre planches aprĂšs avoir traverser le plancher . Ahhhh oui c'est sur vous avez besoin de mes services .. voyons lĂ  la cuisine et derriere au fond le cellier , lĂ  le comptoir ; quelques tables et chaises , ahh oui revoir l'escalier ... prends note petit , dit l homme en s'adressant au jeune garçon qui le suivait , et fait attention ou tu mets les pieds . Comtesse restez lĂ  n'allez pas vous rompre le cou la haut je trouverais bien tout seul le chemin . Voyons oui le parquet Ă  refaire ... pensez Ă  rĂ©parer les portes des futures chambres ... la charpente voyons oui c'est parfait pour cela Bien Comtesse je vois tout Ă  fait ps de gros oeuvres Ă  faire mais un peu de travail pour remettre tout cela en Ă©tat . Des volontaires ? sinon j'irais Place de GrĂšve embaucher ... mais avant tout je vais aller me prĂ©senter au PrĂ©vĂŽt de Paris de votre part ... La Comtesse sourit " Merci d'ĂȘtre venu Ă  notre secours mon cher Henri , je ne pensais pas que vous rĂ©pondriez Ă  ma requĂȘte aussi vite .. et j'en suis ravie Je saurais m'en souvenir " Henri rĂ©pondit au sourire de la jeune Comtesse " Ma Dame je ne peux rien refuser Ă  votre famille , votre pĂšre a toujours Ă©tait bon avec moi et sa protection m'a assurĂ© unevie confortable je me devais de rĂ©pondre avec diligence Ă  votre demande " Francois VanierMessages 568Date d'inscription 09/05/2008Localisation La citĂ© de ParisSujet Re L'Auberge "Au bon accueil" Mar 25 Nov - 131 [hrp Je vais RP un peu Ă  la fois la transformation de la bĂątisse en taverne, si vous voulez RP entre deux ne vous gĂȘnez pas. J’offre 20 deniers Ă  tous les nouveaux sur le forum » qui poste un message en rapport avec la construction de la taverne et qui fera minimum 5 lignes.][PNJ Henri]Henri revient quelques jours plus tard, accompagnĂ© d’une vingtaine d’hommes. Ils s’arrĂȘtĂšrent devant la bĂątisse dĂ©labrĂ©e, Henri jeta un coup d’Ɠil expert et se remĂ©mora ce qu’il avait notĂ© quelques jours plus tĂŽt Le planchĂ© de l’étage Ă©tait pourrit et le sol du rez-de-chaussĂ©e Ă©tait en terre battue, les portes et l’escaliers Ă©taient elles aussi Ă  les gas ! Vous allez vous sĂ©parer en trois groupes, j’en veux cinq qui monte lĂ -haut et qui m’enlĂšve toute les portes, cinq autres s’occuperont de juger de l’état de celle-ci de voir si elles sont rĂ©utilisable. Quand vous en aurez finit avec les portes, cinq m’enlĂšveront tout le planchĂ© de l’étage et cinq autres s’occuperont de tout entasser dehors. Allez-y !Une dizaine d’homme se jetĂšrent Ă  l’assaut de la bĂątisse et se mirent aussitĂŽt au se tourna vers la dizaine qui ! J’en veux cinq qui dĂ©blaient un maximum le rez-de-chaussĂ©e et cinq autres irons faire des courses, on ne pourra rien faire sans matĂ©riel !Cinq hommes rentrĂšrent dans la bĂątissent se mettre au travail, tandis que Henri lui donnait une liste de matĂ©riaux Ă  acheter avec une bourse a chacun des cinq derniers tout le monde eut reçu ses ordres, Henri commença un petit tour d’inspection pour voir comment avançaient ceux Ă  l’ 17 ans Bourgmestre de ParisDerniĂšre Ă©dition par Francois Vanier le Jeu 27 Nov - 107, Ă©ditĂ© 1 fois bec_de_liĂ©vreMessages 6Date d'inscription 13/11/2008Sujet Re L'Auberge "Au bon accueil" Mer 26 Nov - 2332 Chlotaire avait ouie dire qu'un gars chercher des bras du cote du quartier saint Merry. Il dĂ©cida de s'y rendre et pourqoui pas y trouvĂ© un petit boulot si ce n'Ă©tait au chaud, tout du moins au sec. AprĂ©s s'ĂȘtre fait indiquĂ© la directionpar des badauds, il finit par trouver enfin aprĂ©s maints tour et detours l'endroit recherchĂ©. Un homme se tenait au dehors et semblait doner des ordres a quelque hommes qui se diviserent ensuite en trois s'en approcha, esperant qu'il ne serait pas refoulĂ©, malgres une toilete toute sommaire, il ne sentait pas la rose, et ses guenilles Ă©tĂ© plutot defraichie et tachĂ©es, et cause de il n'avait pas vu le cochon passer au travers de son chemin, le faisant valser au milieu de la rue mon sire!!parait que tu cherche des bras?En voilĂ  deux. Bec de liĂ©vre pour vous attendit la rĂ©ponse de l'hommeDerniĂšre Ă©dition par bec_de_liĂ©vre le Jeu 27 Nov - 925, Ă©ditĂ© 1 fois Francois VanierMessages 568Date d'inscription 09/05/2008Localisation La citĂ© de ParisSujet Re L'Auberge "Au bon accueil" Jeu 27 Nov - 107 [PNJ Henri]Henri n’eut pas le temps d’entrer qu’un homme l’interpellait, celui-ci ne sentait pas la rose et Ă©tait crasseux comme un cochon, il lui demandait du travail. Henri le regarda de haute en bas, il avait juste asse de main d’Ɠuvre, il n’allait pas gaspiller les sous du PrĂ©vost de Paris tout de mon gas 
Il n’eut pas le temps de terminer sa phrase qu’à l’intĂ©rieur de la bĂątisse on entendait un bruit de bois qui se cassait 
CRAC !Et puis, les cris d’un homme souffrant le martyre, ce devait ĂȘtre un imbĂ©cile qui est passĂ© Ă  travers le planchĂ© de l’ entra dans la bĂątisse et alla voir ce qui c’était passĂ©. En entrant, la premiĂšre chose qu’il remarqua ce fut le gros trou dans le planchĂ© de l’étage, preuve qu’il ne s’était pas trompĂ© dans sa dĂ©duction. Un petit attroupement c’était formĂ© autour de l’idiot qui Ă©tait passĂ© Ă  travers le planchĂ© et qui maintenant criait comme une femme, Henri s’avança par mis les hommes, et regarda ce qu’avait l’homme en question, il se tenait le bras, il Ă©tait sĂ»rement tombĂ© allĂ© vous autres ! Remettez-vous au travail ! Et faites attention au planchĂ© de l’étage !Les hommes allĂšrent reprendre leur place 
Et toi 
 Et bien 
 Sort d’ici ! Va te faire soigner chez un mĂ©dicastre ! Pas la peine de revenir demain ! Je n’ai pas besoin de maladroit comme toi !L’homme bougonna et traita Henri de tous les noms en sortant mais Henri n’en avait que faire, il Ă©tait habituĂ© Ă  se tourna vers celui qui disait s’appeler bec de liĂšvre » 
Tu voulais du travail ? Une place vient justement de se libĂ©rer, tu est chanceux mon garçon ! Rejoins les en haut et commence Ă  retirer le planchĂ© ! Commence cĂŽtĂ© mur et revient vers l’escaliers et fait attention Ă  ne pas tomber, il est pourrit ce planchĂ© !Henri lui fit un signe de la main pour lui signifier qu’il pouvait allĂ© s’exĂ©cuter puis il reprit son inspection 
_________________Age 17 ans Bourgmestre de Paris bec_de_liĂ©vreMessages 6Date d'inscription 13/11/2008Sujet Re L'Auberge "Au bon accueil" Dim 30 Nov - 1848 Chlotaire cru que la chance n'Ă©tait pas avec lui, quand l'homme chut avec grand le malheur des uns faisait le bonheur des autres. Non que cela lui fit plaisir de emporter une place pour le travail de cette rejoignit donc le groupe qu'il lui a Ă©tĂ© designĂ© sans remarquer le regard noir que lui lança l'un des hommes de son se mit donc au travail veillant a ne pas reproduire l'erreur de son predecesseur. Commençant par le fond du premier Ă©tage il comença a arracher le plancher Francois VanierMessages 568Date d'inscription 09/05/2008Localisation La citĂ© de ParisSujet Re L'Auberge "Au bon accueil" Jeu 4 DĂ©c - 2217 [PNJ Henri]Les travaux durant la premiĂšre journĂ©e se passĂšrent trĂšs bien, plus personnes ne se blessa et le dĂ©blayage eut lieu sans soucis. Le parquet du premier Ă©tage fut totalement donna leur salaire aux ouvriers qui rentrĂšrent chez demain messieurs !Le matĂ©riel fut entreposait Ă  l’intĂ©rieur du bĂątiment pour Ă©viter qu’il disparaisse durant la lendemain, tous les ouvriers revirent, ils commencĂšrent par sortir le matĂ©riel pour dĂ©gager le Henri rĂ©unit les hommes autour de ! Aujourd’hui vous allez me faire deux groupes, j’en veux une dizaine qui travail Ă  restaurer la cave, elle est encore en bonne Ă©tat mais nĂ©cessite un j’en veux une autre dizaine qui installe le nouveau parquet du premier Ă©tage. Travailler par deux, un qui prend les mesures et installe les planches et un autre qui s’occupe de les couper Ă  la bonne longueur et de les apporter. La surface est suffisamment grande pour faire cinq groupes de travail !Et les hommes se mirent au travail tandis qu’Henri faisait son petit tour 
_________________Age 17 ans Bourgmestre de Paris Contenu sponsorisĂ©Sujet Re L'Auberge "Au bon accueil" L'Auberge "Au bon accueil" Page 1 sur 1Permission de ce forumVous ne pouvez pas rĂ©pondre aux sujets dans ce forumForum Les CitĂ©s MĂ©diĂ©vales Le Domaine Royal La CitĂ© de ParisSauter vers

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